TABLE A MECANISME D'EPOQUE LOUIS XVI ESTAMPILLE DE DENIS LOUIS ANCELLET En acajou flammé et placage d'acajou, ornementation et moulures de bronze doré, le plateau, muni de marbre blanc au revers, se déployant et reposant sur les pieds arrière se dégageant au moyen d'un mécanisme, la ceinture ouvrant par un tiroir muni d'une écritoire gainée de cuir vert et d'un casier amovible garni d'un compartiment et de deux godets, reposant sur des colonnes cannelées et rudentées réunies par une tablette d'entrejambe terminées par des pieds fuselés et des roulettes en bois dur, estampillée D.L. ANCELLET et JME sous le tiroir Hauteur : 75 cm. (29 1/2 in.), Largeur : 60,5 cm. (23 3/4 in.), Profondeur : 35 cm. (13 3/4 in.) Denis Louis Ancellet, reçu maître en 1766 A LOUIS XVI ORMOLU-MOUNTED MAHOGANY MECHANICAL WRITING TABLE STAMPED BY DENIS LOUIS ANCELLET Cette table est caractéristique de la manière de Denis-Louis Ancellet qui exécuta, toujours avec beaucoup de soin, plusieurs types de tables plaquées d'acajou, dont certaines à mécanismes et ornées de discrètes plaques de bronze qui en font tout le raffinement. En cela il se rapproche de l'œuvre de son confrère Adam Weisweiler ou parfois même de celle de Martin Carlin Son estampille se retrouve d'ailleurs sur des meubles dont la parenté avec ces derniers est certaine. C'est le cas d'une desserte, estampillée par Ancellet, sans doute commanditée par le marchand-mercier Dominique Daguerre qui pourrait tout autant être de la main de Martin Carlin (collection Wildenstein, vente Christie's Londres, les 14-15 décembre 2005, lot 140) ou d'une table à écrire toujours estampillée Ancellet, qui pourrait être d'Adam Weisweiler (vente à Paris, hôtel Drouot, étude Couturier Nicolay, le 31 mars 1994, lot 100). Denis Louis Ancellet affectionne les tables à transformations. Citons pour exemple : - une table à la Tronchin, collection Wildenstein, vente Christie's Londres, les 14-15 décembre 2005, lot 201 - une table à jeux à système dépliant, vente à Paris, Drouot Montaigne, étude Tajan, le 16 septembre 1996, lot 141 - une table à la Tronchin, vente à Paris, hôtel Drouot, étude Couturier Nicolay, le 10 novembre 1995, lot 138. Une table proche de la présente, bien que non transformable a été vendue à Paris, hôtel Drouot, étude Libert, le 30 novembre 2005, lot 235.
TABLE A MECANISME D'EPOQUE LOUIS XVI ESTAMPILLE DE DENIS LOUIS ANCELLET En acajou flammé et placage d'acajou, ornementation et moulures de bronze doré, le plateau, muni de marbre blanc au revers, se déployant et reposant sur les pieds arrière se dégageant au moyen d'un mécanisme, la ceinture ouvrant par un tiroir muni d'une écritoire gainée de cuir vert et d'un casier amovible garni d'un compartiment et de deux godets, reposant sur des colonnes cannelées et rudentées réunies par une tablette d'entrejambe terminées par des pieds fuselés et des roulettes en bois dur, estampillée D.L. ANCELLET et JME sous le tiroir Hauteur : 75 cm. (29 1/2 in.), Largeur : 60,5 cm. (23 3/4 in.), Profondeur : 35 cm. (13 3/4 in.) Denis Louis Ancellet, reçu maître en 1766 A LOUIS XVI ORMOLU-MOUNTED MAHOGANY MECHANICAL WRITING TABLE STAMPED BY DENIS LOUIS ANCELLET Cette table est caractéristique de la manière de Denis-Louis Ancellet qui exécuta, toujours avec beaucoup de soin, plusieurs types de tables plaquées d'acajou, dont certaines à mécanismes et ornées de discrètes plaques de bronze qui en font tout le raffinement. En cela il se rapproche de l'œuvre de son confrère Adam Weisweiler ou parfois même de celle de Martin Carlin Son estampille se retrouve d'ailleurs sur des meubles dont la parenté avec ces derniers est certaine. C'est le cas d'une desserte, estampillée par Ancellet, sans doute commanditée par le marchand-mercier Dominique Daguerre qui pourrait tout autant être de la main de Martin Carlin (collection Wildenstein, vente Christie's Londres, les 14-15 décembre 2005, lot 140) ou d'une table à écrire toujours estampillée Ancellet, qui pourrait être d'Adam Weisweiler (vente à Paris, hôtel Drouot, étude Couturier Nicolay, le 31 mars 1994, lot 100). Denis Louis Ancellet affectionne les tables à transformations. Citons pour exemple : - une table à la Tronchin, collection Wildenstein, vente Christie's Londres, les 14-15 décembre 2005, lot 201 - une table à jeux à système dépliant, vente à Paris, Drouot Montaigne, étude Tajan, le 16 septembre 1996, lot 141 - une table à la Tronchin, vente à Paris, hôtel Drouot, étude Couturier Nicolay, le 10 novembre 1995, lot 138. Une table proche de la présente, bien que non transformable a été vendue à Paris, hôtel Drouot, étude Libert, le 30 novembre 2005, lot 235.
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