Hubert Robert Paris, 1733 - 1808 Caprice architectural avec une partie du portail de Saint Pierre de Rome Sanguine Daté '1763' en bas à droite, annoté 'une partie du portail de St. pierre a rome' sur le montage dans le bas 'VIEW OF THE PORTAL OF SAINT-PETER BASILICA IN ROME', RED CHALK, DATED, BY H. ROBERT Hauteur : 54 Largeur : 44 cm Provenance : Collection particulière du Centre de la France Commentaire : Hubert Robert arrive en 1754 à Rome grâce à l'appui de son protecteur le marquis de Stainville, futur duc de Choiseul. Il obtient grâce à lui le droit de rentrer à l'Académie de France qui siège alors à Rome au sein du palais Mancini. Pensionnaire en 1759, il est rejoint en 1756 par un jeune peintre, de un an son aîné, Jean-Honoré Fragonard Les deux artistes se lient rapidement d'amitié, dessinant longuement ensemble. Ils s'influencent mutuellement et leur technique dessinée devient confondante à cette période de leur carrière. C'est à ce moment-là que l'abbé de Saint-Non arrive lui-aussi à Rome en 1760 et prend sous son aile les deux peintres : il " les mettait parfois en concurrence pour le même sujet, faisant asseoir au même endroit les deux amis (1) ". Les droits de pensionnaire d'Hubert Robert arrivant à terme il dût quitter l'Académie en 1762. C'est alors que le bailli de Breteuil, ambassadeur de Malte, le prend sous son aile et l'emmène à Florence. Il revient avec Breteuil à Rome en 1763 et y reste encore deux ans avant de reprendre le chemin de la France. Notre dessin, daté de 1763, est un éblouissant témoignage des sanguines d'Hubert Robert, au sommet de son art à cette période de sa vie. 1. Pierre de Nolhac, 'Hubert Robert', Paris, Goupil et Cie, 1910, p. 26
Hubert Robert Paris, 1733 - 1808 Caprice architectural avec une partie du portail de Saint Pierre de Rome Sanguine Daté '1763' en bas à droite, annoté 'une partie du portail de St. pierre a rome' sur le montage dans le bas 'VIEW OF THE PORTAL OF SAINT-PETER BASILICA IN ROME', RED CHALK, DATED, BY H. ROBERT Hauteur : 54 Largeur : 44 cm Provenance : Collection particulière du Centre de la France Commentaire : Hubert Robert arrive en 1754 à Rome grâce à l'appui de son protecteur le marquis de Stainville, futur duc de Choiseul. Il obtient grâce à lui le droit de rentrer à l'Académie de France qui siège alors à Rome au sein du palais Mancini. Pensionnaire en 1759, il est rejoint en 1756 par un jeune peintre, de un an son aîné, Jean-Honoré Fragonard Les deux artistes se lient rapidement d'amitié, dessinant longuement ensemble. Ils s'influencent mutuellement et leur technique dessinée devient confondante à cette période de leur carrière. C'est à ce moment-là que l'abbé de Saint-Non arrive lui-aussi à Rome en 1760 et prend sous son aile les deux peintres : il " les mettait parfois en concurrence pour le même sujet, faisant asseoir au même endroit les deux amis (1) ". Les droits de pensionnaire d'Hubert Robert arrivant à terme il dût quitter l'Académie en 1762. C'est alors que le bailli de Breteuil, ambassadeur de Malte, le prend sous son aile et l'emmène à Florence. Il revient avec Breteuil à Rome en 1763 et y reste encore deux ans avant de reprendre le chemin de la France. Notre dessin, daté de 1763, est un éblouissant témoignage des sanguines d'Hubert Robert, au sommet de son art à cette période de sa vie. 1. Pierre de Nolhac, 'Hubert Robert', Paris, Goupil et Cie, 1910, p. 26
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