Ensemble de trois L.A.S. et deux C.A.S.: «Ellen» datées du 26 janvier 1933, du 17 novembre 1936, du 10 avril 1939, du 10 avril 1940 et du 17 avril 1944, adressées à la comtesse Maria Iourievna Ignatieff, née princesse Ouroussoff (1876-1959) et au comte Alexis Nicolaïévitch Ignatieff (1874-1948), texte en anglais. Traduction: «Chère Marie, merci de m'avoir invité au mariage de votre fils mais malheureusement je ne pourrai pas venir car je serai prise à cette heure-là ce dimanche. Je suis vraiment navrée. Avec mes meilleurs voeux de bonheur au jeune couple et tout mon amour à votre époux. Bien à vous.» - 17 novembre 1936: - «Très chère Marie, je n'ai pas malheureusement pas pu t'écrire plus tôt car je n'ai pas une seconde à moi. À côté de cela, ta lettre et ta carte me sont parvenues très tardivement et elles m'ont suivie ici de lieu en lieu. Je vous félicite chaleureusement et de tout mon coeur pour le mariage de votre fille et je lui souhaite énormément de bonheur dans sa nouvelle vie. Comme c'est étrange, ils se fréquentent depuis si longtemps mais je n'avais jamais pensé qu'une union était à prévoir. Cela doit être un soulagement pour vous de la savoir enfin en couple avec quelqu'un que vous appréciez. J'en suis heureuse. Je vous envoie cette petite aide pour vos dépenses imprévues, et j'espère que vous pourrez en garder une petite partie à remettre à Olly comme cadeau de mariage. J'aurais souhaité pouvoir vous donner plus. Nous y voilà de nouveau quatorze ans après! C'est une grande joie mais aussi une grande nostalgie - trop de changements et de visages qui nous manquent. Le retour et les funérailles ici du roi et de deux reines furent superbes. Quel soulagement de savoir qu'au moins ils ont pu revenir et être enterrés dans leur pays. Beaucoup d'amour chère Marie, j'espère te voir cet hiver. Ta vieille amie qui t'aime.» 10/23 avril 1939: «Hier c'était l'anniversaire de mon père, il aurait eu 93 ans!) Mille mercis ma chère Marie, pour ta lettre et tes bons souhaits. Puisses-tu aussi avoir des fêtes de Pâques paisibles et joyeuses malgré tout ce qui nous arrive. Oui, pauvre Adini! Je n'ai pas reçu de nouvelles d'elle, mais j'ai entendu que jusqu'à présent ils n'ont pas été [molestés?], mais que cela doit être difficile pour eux tout la haut. Que Dieu protège... Léonid, et j'espère que tout ira bien pour Olga. Nous traversons tous une période difficile, la seule chose que nous puissions faire est prier, et remettre nos destins à Dieu. Puisse-t-il te bénir et te protéger toi et les tiens. Un baiser tendre de ta vieille amie» - 10/23 avril 1940: «Très chère Marie, merci beaucoup pour ta lettre. Oui, notre chère église à Saint-Pétersbourg, et toutes ces heureuses Pâques, nuits du miracle. Et comme je me souviens des tartes de notre chère Madame Saville! Et les petites poupées que tu habillais dans ma maison de poupée, comme je les aimais! Tant de souvenirs de notre enfance... Je me souviens de... venant et attendant pour faire mon portrait. Cela devait être en 1886-88 je crois, comme c'est étrange que tu rencontres Marie après tant d'années. [...]».- 17 avril 1944: «En vérité il est ressuscité en Vérité! Cher Alexey, je te remercie pour tes gentilles félicitations à l'occasion de la fête. Pour la première fois j'ai fêté Pâques tristement. Je souffre de douleurs aigues, de rhumatisme et je me déplace encore avec difficultés. En espérant les beaux jours du printemps qui m'aideront. Tu ne m'a rien dit à propos de ta santé. Je pense souvent à toi. Toi et ta famille vous êtes tellement liés à mon passé heureux. Tu es la seule personne avec qui je peux en parler. Je vous embrasse 3 fois Maroussia [diminutif de Marie] et toi. Venez me rendre visite quand vous pouvez, je serais ravie de vous voir.
Ensemble de trois L.A.S. et deux C.A.S.: «Ellen» datées du 26 janvier 1933, du 17 novembre 1936, du 10 avril 1939, du 10 avril 1940 et du 17 avril 1944, adressées à la comtesse Maria Iourievna Ignatieff, née princesse Ouroussoff (1876-1959) et au comte Alexis Nicolaïévitch Ignatieff (1874-1948), texte en anglais. Traduction: «Chère Marie, merci de m'avoir invité au mariage de votre fils mais malheureusement je ne pourrai pas venir car je serai prise à cette heure-là ce dimanche. Je suis vraiment navrée. Avec mes meilleurs voeux de bonheur au jeune couple et tout mon amour à votre époux. Bien à vous.» - 17 novembre 1936: - «Très chère Marie, je n'ai pas malheureusement pas pu t'écrire plus tôt car je n'ai pas une seconde à moi. À côté de cela, ta lettre et ta carte me sont parvenues très tardivement et elles m'ont suivie ici de lieu en lieu. Je vous félicite chaleureusement et de tout mon coeur pour le mariage de votre fille et je lui souhaite énormément de bonheur dans sa nouvelle vie. Comme c'est étrange, ils se fréquentent depuis si longtemps mais je n'avais jamais pensé qu'une union était à prévoir. Cela doit être un soulagement pour vous de la savoir enfin en couple avec quelqu'un que vous appréciez. J'en suis heureuse. Je vous envoie cette petite aide pour vos dépenses imprévues, et j'espère que vous pourrez en garder une petite partie à remettre à Olly comme cadeau de mariage. J'aurais souhaité pouvoir vous donner plus. Nous y voilà de nouveau quatorze ans après! C'est une grande joie mais aussi une grande nostalgie - trop de changements et de visages qui nous manquent. Le retour et les funérailles ici du roi et de deux reines furent superbes. Quel soulagement de savoir qu'au moins ils ont pu revenir et être enterrés dans leur pays. Beaucoup d'amour chère Marie, j'espère te voir cet hiver. Ta vieille amie qui t'aime.» 10/23 avril 1939: «Hier c'était l'anniversaire de mon père, il aurait eu 93 ans!) Mille mercis ma chère Marie, pour ta lettre et tes bons souhaits. Puisses-tu aussi avoir des fêtes de Pâques paisibles et joyeuses malgré tout ce qui nous arrive. Oui, pauvre Adini! Je n'ai pas reçu de nouvelles d'elle, mais j'ai entendu que jusqu'à présent ils n'ont pas été [molestés?], mais que cela doit être difficile pour eux tout la haut. Que Dieu protège... Léonid, et j'espère que tout ira bien pour Olga. Nous traversons tous une période difficile, la seule chose que nous puissions faire est prier, et remettre nos destins à Dieu. Puisse-t-il te bénir et te protéger toi et les tiens. Un baiser tendre de ta vieille amie» - 10/23 avril 1940: «Très chère Marie, merci beaucoup pour ta lettre. Oui, notre chère église à Saint-Pétersbourg, et toutes ces heureuses Pâques, nuits du miracle. Et comme je me souviens des tartes de notre chère Madame Saville! Et les petites poupées que tu habillais dans ma maison de poupée, comme je les aimais! Tant de souvenirs de notre enfance... Je me souviens de... venant et attendant pour faire mon portrait. Cela devait être en 1886-88 je crois, comme c'est étrange que tu rencontres Marie après tant d'années. [...]».- 17 avril 1944: «En vérité il est ressuscité en Vérité! Cher Alexey, je te remercie pour tes gentilles félicitations à l'occasion de la fête. Pour la première fois j'ai fêté Pâques tristement. Je souffre de douleurs aigues, de rhumatisme et je me déplace encore avec difficultés. En espérant les beaux jours du printemps qui m'aideront. Tu ne m'a rien dit à propos de ta santé. Je pense souvent à toi. Toi et ta famille vous êtes tellement liés à mon passé heureux. Tu es la seule personne avec qui je peux en parler. Je vous embrasse 3 fois Maroussia [diminutif de Marie] et toi. Venez me rendre visite quand vous pouvez, je serais ravie de vous voir.
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