George SAND L.A., [Nohant 31 (?) janvier 1837], à son amie Rozanne Bourgoing à La Châtre ; 3 pages in-8, adresse (petite déchir. par bris de cachet). « Chère Rozane, je t’envoye une livraison de ma collection. Je te prie si tu as un n° de la Gazette musicale où est le Contrebandier de me le renvoyer ». Qu’elle ne vienne la voir que dans une semaine : « Tous mes domestiques sont grippés et je présume que Don José n’est pas si fort sur la confection du dîner que sur l’absorption. Notre petite réunion de famille n’aura donc pas lieu cette semaine mais je saisis cette occasion pour te dire que tu es bien sauvage, ou bien paresseuse. Moi je ne me conduis pas mieux. J’ai été à La Châtre une seule fois et au moment où j’allais chez toi vers quatre heures il s’est mis à tomber une petite neige froide qui m’a fait peur, car j’étais à cheval et je suis très rhumatisée cette année. Je me suis donc sauvée vilainement comptant re[venir] exprès pour toi au premier jour. Mais je suis écrasée de travail, il fait un froid de chien, je souffre continuellement et Maurice est encore au lit avec la fièvre »… Correspondance, t. III, p. 676.
George SAND L.A., [Nohant 31 (?) janvier 1837], à son amie Rozanne Bourgoing à La Châtre ; 3 pages in-8, adresse (petite déchir. par bris de cachet). « Chère Rozane, je t’envoye une livraison de ma collection. Je te prie si tu as un n° de la Gazette musicale où est le Contrebandier de me le renvoyer ». Qu’elle ne vienne la voir que dans une semaine : « Tous mes domestiques sont grippés et je présume que Don José n’est pas si fort sur la confection du dîner que sur l’absorption. Notre petite réunion de famille n’aura donc pas lieu cette semaine mais je saisis cette occasion pour te dire que tu es bien sauvage, ou bien paresseuse. Moi je ne me conduis pas mieux. J’ai été à La Châtre une seule fois et au moment où j’allais chez toi vers quatre heures il s’est mis à tomber une petite neige froide qui m’a fait peur, car j’étais à cheval et je suis très rhumatisée cette année. Je me suis donc sauvée vilainement comptant re[venir] exprès pour toi au premier jour. Mais je suis écrasée de travail, il fait un froid de chien, je souffre continuellement et Maurice est encore au lit avec la fièvre »… Correspondance, t. III, p. 676.
Try LotSearch and its premium features for 7 days - without any costs!
Be notified automatically about new items in upcoming auctions.
Create an alert