DELISLE DE SALES Jean-Baptiste (1739-1816) écrivain et philosophe. 8 L.A.S. « De Sales », 1807-1816 ; 18 pages formats divers, 2 adresses. 18 février 1807, remerciant Monseigneur qui « par la simple impulsion de son gout raisonné pour les arts et de sa bienfaisance naturelle » lui a accordé une gratification… 16 janvier 1810, à ses « honorables collègues », déclarant sa candidature pour le prix de biographie : il signale ses Vies de La Fontaine, Forbonnais, Montalembert, Bailly… 15 juillet 1812, faisant hommage aux académiciens de son Essai sur le journalisme, et s’offrant pour défendre l’Académie contre sa « légion d’ennemis »… Mercredi [25 novembre 1812], à Amaury DUVAL, sur une affaire de vente de bibliothèque… 31 décembre 1813, à un préfet, sur son « histoire du monde primitif », renvoyant à De la philosophie de la nature ; il lui enverra prochainement son éloge funèbre de Fanny de BEAUHARNAIS, « qui a été quarante ans mon amie »… 31 juillet 1814, au baron CHABROL DE VOLVIC, le remerciant d’avoir allégé ses contributions dans « un moment critique », évoquant ses malheurs depuis la chute de l’Empire… 13 mars 1816, à Jean-Baptiste suard, le priant de soutenir sa candidature à l’Académie française, à laquelle il va faire hommage de beaux exemplaires de ses principaux ouvrages, depuis sa Philosophie du bonheur jusqu’à Tige de Myrte et Bouton de Rose, qu’il dépose en tremblant « a cause de la nudité des mœurs orientales, mais tout le monde paraît s’accorder à dire que c’est le plus original des ecrits que j’ay publiés »… Au jurisconsulte Hom, son « digne et excellent Fabius Maximus »… On joint une P.A.S., « Precis rapide sur les services et sur les malheurs du membre de l’Institut De L’Isle de Sales entrant dans sa 76ème année et Académicien des Belles-Lettres depuis l’organisation des Academies » (1814, 4 p. in-4) ; plus une curieuse note jointe concernant sa femme [1817].
DELISLE DE SALES Jean-Baptiste (1739-1816) écrivain et philosophe. 8 L.A.S. « De Sales », 1807-1816 ; 18 pages formats divers, 2 adresses. 18 février 1807, remerciant Monseigneur qui « par la simple impulsion de son gout raisonné pour les arts et de sa bienfaisance naturelle » lui a accordé une gratification… 16 janvier 1810, à ses « honorables collègues », déclarant sa candidature pour le prix de biographie : il signale ses Vies de La Fontaine, Forbonnais, Montalembert, Bailly… 15 juillet 1812, faisant hommage aux académiciens de son Essai sur le journalisme, et s’offrant pour défendre l’Académie contre sa « légion d’ennemis »… Mercredi [25 novembre 1812], à Amaury DUVAL, sur une affaire de vente de bibliothèque… 31 décembre 1813, à un préfet, sur son « histoire du monde primitif », renvoyant à De la philosophie de la nature ; il lui enverra prochainement son éloge funèbre de Fanny de BEAUHARNAIS, « qui a été quarante ans mon amie »… 31 juillet 1814, au baron CHABROL DE VOLVIC, le remerciant d’avoir allégé ses contributions dans « un moment critique », évoquant ses malheurs depuis la chute de l’Empire… 13 mars 1816, à Jean-Baptiste suard, le priant de soutenir sa candidature à l’Académie française, à laquelle il va faire hommage de beaux exemplaires de ses principaux ouvrages, depuis sa Philosophie du bonheur jusqu’à Tige de Myrte et Bouton de Rose, qu’il dépose en tremblant « a cause de la nudité des mœurs orientales, mais tout le monde paraît s’accorder à dire que c’est le plus original des ecrits que j’ay publiés »… Au jurisconsulte Hom, son « digne et excellent Fabius Maximus »… On joint une P.A.S., « Precis rapide sur les services et sur les malheurs du membre de l’Institut De L’Isle de Sales entrant dans sa 76ème année et Académicien des Belles-Lettres depuis l’organisation des Academies » (1814, 4 p. in-4) ; plus une curieuse note jointe concernant sa femme [1817].
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