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Auction archive: Lot number 16

Bugatti Type 57 Cabriolet Vanvooren

Estimate
€650,000 - €950,000
ca. US$796,760 - US$1,164,495
Price realised:
n. a.
Auction archive: Lot number 16

Bugatti Type 57 Cabriolet Vanvooren

Estimate
€650,000 - €950,000
ca. US$796,760 - US$1,164,495
Price realised:
n. a.
Beschreibung:

Bugatti Type 57 Cabriolet Vanvooren Carte grise française Caisse Vanvooren n° 2940 Moteur n° 546 - Collection Volante - Caisse Vanvooren du Salon de Paris 1938 - Passionnante histoire - Restauration de très haut niveau - Un des chefs d'œuvres de la collection Volante Longtemps mystérieuse, cette voiture a récemment livré ses secrets après un long travail d'investigation mené par plusieurs historiens Bugatti, ainsi que par son dernier propriétaire qui a entrepris une restauration totale, sans considération de prix. Elle porte la carrosserie du cabriolet type 57C Vanvooren (châssis 57757/moteur 52C) du Salon de Paris d'octobre 1938, qui fut transposée à l'usine vers 1945 sur un châssis type 57 (moteur 546) neuf, en stock depuis juin 1939. Le châssis 57757/moteur 52C, cabriolet Vanvooren, Salon 1938 La carrosserie de ce véhicule fut construite par les Établissements Vanvooren, rue Pierre Lhomme à Courbevoie, afin d'être exposée du 6 au 16 octobre 1938 sur le stand de ce carrossier au Salon de l'Automobile de Paris, au Grand Palais. Pour cet événement, le châssis 57C numéro 57757/moteur 52C est préparé début août 1938 par Molsheim afin de recevoir la caisse Vanvooren. Cette caisse était prévue à l'origine sur ce même châssis car sur l'une des trois photos de la voiture prises au bois de Boulogne en octobre 1938, on peut lire le logo " 57C " sur l'arrière gauche de la malle. Ces photos ont été publiées dans le numéro de novembre-décembre de la revue Auto-carrosserie. La caisse y est décrite comme " de couleur noir et bleu, capote bleue, et intérieur cuir bleu". En 1938-1939, rares sont les châssis commandés à Bugatti par l'atelier Vanvooren : ce châssis n°57757 est le seul de type 57C qui lui est livré en 1938 pour la réalisation d'un cabriolet. Un autre châssis, n° 57695/moteur 506, sans compresseur, sortira des ateliers Vanvooren à Noël 1938. Les deux châssis avaient été livrés à la carrosserie le 12 août 1938. La voiture 57757/moteur 52 C est achetée par D'Ieteren, l'agent Bugatti bruxellois, le 30 septembre 1938, la carrosserie cabriolet quatre places lui étant facturée 41 200 francs. Le Salon de Paris ouvre ses portes la semaine suivante. Le 15 novembre 1938, la voiture est enfin livrée à D'Ieteren à Bruxelles pour son client M. Washer, contre la somme de 110 000 francs. Dans tous les documents de l'usine, une seule note mentionne " Washer " comme client du véhicule. Fort de cette information, nous partons sur sa piste et retrouvons la belle-fille du premier propriétaire Jean Washer, célèbre tennisman belge des années 1920. Elle fait chercher pour nous dans les archives familiales, et son neveu découvre les documents espérés. L'album de famille renferme encore les photos publicitaires du véhicule au bois de Boulogne, envoyées par l'agent bruxellois pour convaincre son client, ainsi qu'une photo datant de l'hiver 1939, avec les plaques belges. Jean Washer pose, à côté de sa nouvelle acquisition, en casquette et gants. Son fils Paul Washer, décédé récemment, avait peu avant tenté de contacter l'usine de Molsheim dans l'espoir d'avoir des nouvelles de la voiture familiale. En effet, le souvenir était encore très présent dans la mémoire de celui qui était un jeune homme de 16 ans lorsque son père avait acheté ce cabriolet. La direction actuelle n'a pas pu lui répondre. Pourtant, la voiture était bien repassée par l'usine vers la fin de la guerre puisque son châssis avait été utilisé pour recevoir le moteur ex-57404 et une carrosserie de cabriolet Gangloff modèle 1939, tandis que la caisse Vanvooren était posée sur un châssis neuf équipé du moteur n°546. Jean Washer (1894-1972) Né le 22 août 1894 à Berchem et décédé le 22 mars 1972 à Genève, Jean Washer fait partie d'une famille d'industriels du textile de la région bruxelloise. Il commence à jouer au tennis après la guerre et rejoint le Royal Léopold Club de Bruxelles. Sa meilleure année est 1923 où il termine neuvième joueur mondial. En 1924 il atteint les quarts de finale à Wimb

Auction archive: Lot number 16
Auction:
Datum:
9 Feb 2018
Auction house:
Artcurial
7, rond-point des Champs-Élysées
75008 Paris
France
contact@artcurial.com
+33 (0)1 42992020
Beschreibung:

Bugatti Type 57 Cabriolet Vanvooren Carte grise française Caisse Vanvooren n° 2940 Moteur n° 546 - Collection Volante - Caisse Vanvooren du Salon de Paris 1938 - Passionnante histoire - Restauration de très haut niveau - Un des chefs d'œuvres de la collection Volante Longtemps mystérieuse, cette voiture a récemment livré ses secrets après un long travail d'investigation mené par plusieurs historiens Bugatti, ainsi que par son dernier propriétaire qui a entrepris une restauration totale, sans considération de prix. Elle porte la carrosserie du cabriolet type 57C Vanvooren (châssis 57757/moteur 52C) du Salon de Paris d'octobre 1938, qui fut transposée à l'usine vers 1945 sur un châssis type 57 (moteur 546) neuf, en stock depuis juin 1939. Le châssis 57757/moteur 52C, cabriolet Vanvooren, Salon 1938 La carrosserie de ce véhicule fut construite par les Établissements Vanvooren, rue Pierre Lhomme à Courbevoie, afin d'être exposée du 6 au 16 octobre 1938 sur le stand de ce carrossier au Salon de l'Automobile de Paris, au Grand Palais. Pour cet événement, le châssis 57C numéro 57757/moteur 52C est préparé début août 1938 par Molsheim afin de recevoir la caisse Vanvooren. Cette caisse était prévue à l'origine sur ce même châssis car sur l'une des trois photos de la voiture prises au bois de Boulogne en octobre 1938, on peut lire le logo " 57C " sur l'arrière gauche de la malle. Ces photos ont été publiées dans le numéro de novembre-décembre de la revue Auto-carrosserie. La caisse y est décrite comme " de couleur noir et bleu, capote bleue, et intérieur cuir bleu". En 1938-1939, rares sont les châssis commandés à Bugatti par l'atelier Vanvooren : ce châssis n°57757 est le seul de type 57C qui lui est livré en 1938 pour la réalisation d'un cabriolet. Un autre châssis, n° 57695/moteur 506, sans compresseur, sortira des ateliers Vanvooren à Noël 1938. Les deux châssis avaient été livrés à la carrosserie le 12 août 1938. La voiture 57757/moteur 52 C est achetée par D'Ieteren, l'agent Bugatti bruxellois, le 30 septembre 1938, la carrosserie cabriolet quatre places lui étant facturée 41 200 francs. Le Salon de Paris ouvre ses portes la semaine suivante. Le 15 novembre 1938, la voiture est enfin livrée à D'Ieteren à Bruxelles pour son client M. Washer, contre la somme de 110 000 francs. Dans tous les documents de l'usine, une seule note mentionne " Washer " comme client du véhicule. Fort de cette information, nous partons sur sa piste et retrouvons la belle-fille du premier propriétaire Jean Washer, célèbre tennisman belge des années 1920. Elle fait chercher pour nous dans les archives familiales, et son neveu découvre les documents espérés. L'album de famille renferme encore les photos publicitaires du véhicule au bois de Boulogne, envoyées par l'agent bruxellois pour convaincre son client, ainsi qu'une photo datant de l'hiver 1939, avec les plaques belges. Jean Washer pose, à côté de sa nouvelle acquisition, en casquette et gants. Son fils Paul Washer, décédé récemment, avait peu avant tenté de contacter l'usine de Molsheim dans l'espoir d'avoir des nouvelles de la voiture familiale. En effet, le souvenir était encore très présent dans la mémoire de celui qui était un jeune homme de 16 ans lorsque son père avait acheté ce cabriolet. La direction actuelle n'a pas pu lui répondre. Pourtant, la voiture était bien repassée par l'usine vers la fin de la guerre puisque son châssis avait été utilisé pour recevoir le moteur ex-57404 et une carrosserie de cabriolet Gangloff modèle 1939, tandis que la caisse Vanvooren était posée sur un châssis neuf équipé du moteur n°546. Jean Washer (1894-1972) Né le 22 août 1894 à Berchem et décédé le 22 mars 1972 à Genève, Jean Washer fait partie d'une famille d'industriels du textile de la région bruxelloise. Il commence à jouer au tennis après la guerre et rejoint le Royal Léopold Club de Bruxelles. Sa meilleure année est 1923 où il termine neuvième joueur mondial. En 1924 il atteint les quarts de finale à Wimb

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Auction:
Datum:
9 Feb 2018
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