2,4 GTI Cabriolet - Châssis 05ME0804 Moteur MA / Série ME - Carte grise française Seulement 5 exemplaires fabriqués Au début des années 80, la Peugeot 504 Cabriolet est en fin de parcours, et il n’existera bientôt plus de cabriolet français haut de gamme. Un ingénieur passionné de Citroën, Guy Deslandes, trouve dommage qu’il n’existe pas dans la gamme CX une version cabriolet comme il y en avait pour la DS. Désireux d’en posséder un exemplaire, il s’adresse aux carrossiers Chapron et Heuliez afin d’en faire réaliser un. Mais le devis présenté par Chapron est bien trop élevé, tandis que qu’Heuliez indique ne pas être capable de réaliser un cabriolet sur la base d’une CX. Il décide donc de réaliser lui-même ce projet en partant des profils des cabriolets précédents sur base Citroën et en gardant le style et les lignes de la CX berline. Le modèle de base pour cette transformation fut choisi dans le haut de la gamme : la CX 2400 GTI. Les lignes générales de la CX berline sont respectées dans cette transformation, le dessin inclut les lignes horizontales du haut des portières de la CX. L’arrière est découpé dans une forme descendante rappelant celui des cabriolets DS mais légèrement moins pentue. Le prototype est prêt en avril 1983, il est le seul entièrement en tôle, les autres modèles auront un arrière en fibre de verre ! Mr Deslandes voulait réaliser une petite série de ses cabriolets sur base CX, mais la mauvaise entente avec Citroën en décida autrement. Pour faciliter l’accès aux places arrière, la longueur des portes est augmentée de 11 cm, comme sur le cabriolet DS, ce qui a nécessité le déplacement du pied milieu et la fabrication de vitres latérales spécifiques qui furent réalisées avec l’aide de Saint Gobain (verre homologué automobile). In fine, seuls 4 exemplaires seront fabriqués (en plus du proto de 83), ce qui en fait une Citroën vraiment rare. Au Salon de Genève 1984, la CX Orphée ne fut visible qu’à partir de l’après-midi du second jour, les décideurs Citroën ne purent la voir qu’à travers le dossier de presse. Ayant eu le temps de préparer sa présentation, elle fut bien présente dès le début au Salon de Paris 1984 dans une livrée blanche nacré avec une sellerie rouge. L’exemplaire que nous proposons est en bel état esthétique et mécanique. Une belle occasion de rouler différent, dans une voiture ultra rare, puisque produite à seulement 5 exemplaires. Elle représente peut-être la fin des cabriolets de luxe de Citroën et la fin d’une époque aussi, celle où il était encore possible pour un passionné de s’entendre avec un grand groupe et de présenter sa création sur leur stand.
2,4 GTI Cabriolet - Châssis 05ME0804 Moteur MA / Série ME - Carte grise française Seulement 5 exemplaires fabriqués Au début des années 80, la Peugeot 504 Cabriolet est en fin de parcours, et il n’existera bientôt plus de cabriolet français haut de gamme. Un ingénieur passionné de Citroën, Guy Deslandes, trouve dommage qu’il n’existe pas dans la gamme CX une version cabriolet comme il y en avait pour la DS. Désireux d’en posséder un exemplaire, il s’adresse aux carrossiers Chapron et Heuliez afin d’en faire réaliser un. Mais le devis présenté par Chapron est bien trop élevé, tandis que qu’Heuliez indique ne pas être capable de réaliser un cabriolet sur la base d’une CX. Il décide donc de réaliser lui-même ce projet en partant des profils des cabriolets précédents sur base Citroën et en gardant le style et les lignes de la CX berline. Le modèle de base pour cette transformation fut choisi dans le haut de la gamme : la CX 2400 GTI. Les lignes générales de la CX berline sont respectées dans cette transformation, le dessin inclut les lignes horizontales du haut des portières de la CX. L’arrière est découpé dans une forme descendante rappelant celui des cabriolets DS mais légèrement moins pentue. Le prototype est prêt en avril 1983, il est le seul entièrement en tôle, les autres modèles auront un arrière en fibre de verre ! Mr Deslandes voulait réaliser une petite série de ses cabriolets sur base CX, mais la mauvaise entente avec Citroën en décida autrement. Pour faciliter l’accès aux places arrière, la longueur des portes est augmentée de 11 cm, comme sur le cabriolet DS, ce qui a nécessité le déplacement du pied milieu et la fabrication de vitres latérales spécifiques qui furent réalisées avec l’aide de Saint Gobain (verre homologué automobile). In fine, seuls 4 exemplaires seront fabriqués (en plus du proto de 83), ce qui en fait une Citroën vraiment rare. Au Salon de Genève 1984, la CX Orphée ne fut visible qu’à partir de l’après-midi du second jour, les décideurs Citroën ne purent la voir qu’à travers le dossier de presse. Ayant eu le temps de préparer sa présentation, elle fut bien présente dès le début au Salon de Paris 1984 dans une livrée blanche nacré avec une sellerie rouge. L’exemplaire que nous proposons est en bel état esthétique et mécanique. Une belle occasion de rouler différent, dans une voiture ultra rare, puisque produite à seulement 5 exemplaires. Elle représente peut-être la fin des cabriolets de luxe de Citroën et la fin d’une époque aussi, celle où il était encore possible pour un passionné de s’entendre avec un grand groupe et de présenter sa création sur leur stand.
Try LotSearch and its premium features for 7 days - without any costs!
Be notified automatically about new items in upcoming auctions.
Create an alert