Auktionsarchiv: Los-Nr. 587

1965 Ferrari 330GT 2+2 Berlinette Coachwork by Pininfarina Chassis no. 6055 Engine no. 6055

Schätzpreis
Zuschlagspreis:
n. a.
Auktionsarchiv: Los-Nr. 587

1965 Ferrari 330GT 2+2 Berlinette Coachwork by Pininfarina Chassis no. 6055 Engine no. 6055

Schätzpreis
Zuschlagspreis:
n. a.
Beschreibung:

Présentée en janvier 1964, la 330 GT 2+2 reprenait la plate-forme de sa devancière, la 250 GTE 2+2, première quatre places de tourisme de Ferrari. Pininfarina avait à nouveau été mis à contribution pour le style, adoptant des optiques doubles pour flatter le goût de la clientèle du plus important marché de Ferrari, les États-Unis. Même si certains ont pu critiquer son style, la série 1, avec ses doubles phares, est très représentative de la mode des années 1960 et appréciée pour son originalité et la pureté du style de Pininfarina. Comme sa devancière, la 330 GT repose sur un châssis tubulaire, mais avec un empattement allongé de 50 mm qui offre plus de confort aux passagers arrière. La suspension indépendante à l'avant était assurée par triangles superposés et ressorts hélicoïdaux, tandis qu'à l'arrière on trouvait un essieu rigide à ressort semis-elliptiques. Les freins aux quatre roues étaient améliorés par des circuits hydrauliques séparés à l'avant et à l'arrière. Le moteur V12 Colombo ouvert à 60° de la 330 GT était apparu sur la 330 America (en fait une 250 GTE 2+2 réalésée) en 1963. Avec une cylindrée de 3 967 cm3 ce simple arbre à cames en tête tout en alliage développait plus de 300 ch, largement suffisants pour emmener la 330 GT à une vitesse maximale de 245 km/h qui en faisait, à sa présentation, la plus rapide des Ferrari de route. Construite simultanément avec la très exclusive Superamerica, la 330 GT était la grand tourisme ultime pour la clientèle sophistiquée de cette période connue en Europe sous le nom de "la dolce vita". L'une des préférées d'Enzo Ferrari, la 330 GT fut la première Ferrari à dépasser les 1000 exemplaires. Les registres des archives de Maranello Concessionnaires indiquent que 6055 fut fabriquée en 1965 et livrée à Luigi Chinetti Motors, l'importateur américain. Son premier propriétaire était Georges Constantine, un gentleman driver bien connu qui avait couru sur des voitures aussi remarquables qu'une Ferrari 250 GT Testa Rossa, une 250 GT competizione châssis court de la Scuderia Serenissima, une 250 GT California, une Maserati 300 S de Briggs Cunningham et une Aston martin DB2 d'usine, parmi bien d'autres. À cette époque de grandes classiques sportives, la 330 GT de Constantine était le parfait moyen de transport pour se rendre sur les circuits. À partir de 1983 avec 72,237 km au compteur, la voiture passa les 28 années suivantes dans une collection californienne, n'accomplissant que quelques kilomètres supplémentaires avant d'arriver au Royaume-Uni au début de 2011. Le compteur n'affiche qu'environ 72,420 km. Bien que la peinture originale témoignât du grand soin de ses propriétaires successifs, il a été décidé de mettre le métal à nu en utilisant les méthodes les plus modernes de sablage pour être sûr qu'elle ne subisse pas les outrages de techniques plus rudes souvent employées. Les portes, les panneaux de carrosserie et les fenêtres ont été démontés avant de passer les apprêts et la peinture Grigio Argento Metalizzato avec toit Grigio Fumo. Les joints de carrosserie, encore excellents, n'ont nécessité que des ajustements mineurs. L'intérieur rouge était en bon état, mais pour être au même niveau de qualité de finition de la voiture, il a été entièrement refait dans un nouveau cuir rouge, ainsi que les tapis de sol, par un ancien sellier d'Aston Martin. En excellente état, les garnitures de toit ont été conservées, de même que l'excellent tableau de bord et le volant. La mécanique de la voiture a été entièrement révisée, comprenant des freins refaits avec remplacement du servo, du maître cylindre et des disques et garnitures entièrement nouveaux. De plus, le radiateur a été refait et agrandi pour un meilleur refroidissement et une ligne d'échappement en inox installée. Refaites, polies et équipées de nouveaux papillons, les roues fil Borrani sont chaussées de pneus Pirelli Cinturato conformes à ceux de l'époque. Une nouvelle bobine et de nouvelles résistances ont été montés sur le systèm

Auktionsarchiv: Los-Nr. 587
Beschreibung:

Présentée en janvier 1964, la 330 GT 2+2 reprenait la plate-forme de sa devancière, la 250 GTE 2+2, première quatre places de tourisme de Ferrari. Pininfarina avait à nouveau été mis à contribution pour le style, adoptant des optiques doubles pour flatter le goût de la clientèle du plus important marché de Ferrari, les États-Unis. Même si certains ont pu critiquer son style, la série 1, avec ses doubles phares, est très représentative de la mode des années 1960 et appréciée pour son originalité et la pureté du style de Pininfarina. Comme sa devancière, la 330 GT repose sur un châssis tubulaire, mais avec un empattement allongé de 50 mm qui offre plus de confort aux passagers arrière. La suspension indépendante à l'avant était assurée par triangles superposés et ressorts hélicoïdaux, tandis qu'à l'arrière on trouvait un essieu rigide à ressort semis-elliptiques. Les freins aux quatre roues étaient améliorés par des circuits hydrauliques séparés à l'avant et à l'arrière. Le moteur V12 Colombo ouvert à 60° de la 330 GT était apparu sur la 330 America (en fait une 250 GTE 2+2 réalésée) en 1963. Avec une cylindrée de 3 967 cm3 ce simple arbre à cames en tête tout en alliage développait plus de 300 ch, largement suffisants pour emmener la 330 GT à une vitesse maximale de 245 km/h qui en faisait, à sa présentation, la plus rapide des Ferrari de route. Construite simultanément avec la très exclusive Superamerica, la 330 GT était la grand tourisme ultime pour la clientèle sophistiquée de cette période connue en Europe sous le nom de "la dolce vita". L'une des préférées d'Enzo Ferrari, la 330 GT fut la première Ferrari à dépasser les 1000 exemplaires. Les registres des archives de Maranello Concessionnaires indiquent que 6055 fut fabriquée en 1965 et livrée à Luigi Chinetti Motors, l'importateur américain. Son premier propriétaire était Georges Constantine, un gentleman driver bien connu qui avait couru sur des voitures aussi remarquables qu'une Ferrari 250 GT Testa Rossa, une 250 GT competizione châssis court de la Scuderia Serenissima, une 250 GT California, une Maserati 300 S de Briggs Cunningham et une Aston martin DB2 d'usine, parmi bien d'autres. À cette époque de grandes classiques sportives, la 330 GT de Constantine était le parfait moyen de transport pour se rendre sur les circuits. À partir de 1983 avec 72,237 km au compteur, la voiture passa les 28 années suivantes dans une collection californienne, n'accomplissant que quelques kilomètres supplémentaires avant d'arriver au Royaume-Uni au début de 2011. Le compteur n'affiche qu'environ 72,420 km. Bien que la peinture originale témoignât du grand soin de ses propriétaires successifs, il a été décidé de mettre le métal à nu en utilisant les méthodes les plus modernes de sablage pour être sûr qu'elle ne subisse pas les outrages de techniques plus rudes souvent employées. Les portes, les panneaux de carrosserie et les fenêtres ont été démontés avant de passer les apprêts et la peinture Grigio Argento Metalizzato avec toit Grigio Fumo. Les joints de carrosserie, encore excellents, n'ont nécessité que des ajustements mineurs. L'intérieur rouge était en bon état, mais pour être au même niveau de qualité de finition de la voiture, il a été entièrement refait dans un nouveau cuir rouge, ainsi que les tapis de sol, par un ancien sellier d'Aston Martin. En excellente état, les garnitures de toit ont été conservées, de même que l'excellent tableau de bord et le volant. La mécanique de la voiture a été entièrement révisée, comprenant des freins refaits avec remplacement du servo, du maître cylindre et des disques et garnitures entièrement nouveaux. De plus, le radiateur a été refait et agrandi pour un meilleur refroidissement et une ligne d'échappement en inox installée. Refaites, polies et équipées de nouveaux papillons, les roues fil Borrani sont chaussées de pneus Pirelli Cinturato conformes à ceux de l'époque. Une nouvelle bobine et de nouvelles résistances ont été montés sur le systèm

Auktionsarchiv: Los-Nr. 587
LotSearch ausprobieren

Testen Sie LotSearch und seine Premium-Features 7 Tage - ohne Kosten!

  • Auktionssuche und Bieten
  • Preisdatenbank und Analysen
  • Individuelle automatische Suchaufträge
Jetzt einen Suchauftrag anlegen!

Lassen Sie sich automatisch über neue Objekte in kommenden Auktionen benachrichtigen.

Suchauftrag anlegen