Sans titre, 1994 Encre de Chine sur papier, signée, datée et dédicacée à Christian Poninski en bas à droite 25.2 x 23 cm - 9 59/64 x 9 1/16 in. Cette oeuvre est répertoriée dans les archives de la Fondation Zao Wou-Ki et sera incluse dans le catalogue raisonné actuellement en préparation.Un certificat d'authenticité pourra être établi par la Fondation Zao Wou-Ki à la demande et aux frais de l'acquéreur. PROVENANCE Collection du Comte Christian Poninski, ParisCollection privée, Paris (acquis auprès du précédent en 2013) OEUVRES EN RAPPORT Cette oeuvre a inspiré une série d'estampes (Agerup 384). Chez l’imprimeur Desjobert, Zao Wou-Ki découvre la lithographie et peu de temps après, en 1950, parait le premier livre de bibliophilie, « Lecture par Henri Michaux de huit lithographies de Zao Wou-Ki ». La collaboration des deux artistes engage Henri Michaux dans l’écriture de huit lectures, qui accompagnent les lithographies de Zao Wou-Ki et qui engagera la série des livres de bibliophilie qu’ils réaliseront ensemble. Art contemporain asiatique Une génération avant Zao Wou-Ki le peintre chinois Sanyu s’était établi à Paris pour y trouver une source nouvelle à laquelle enrichir son art alors très marqué par la tradition picturale chinoise. Par son talent et son avant-gardisme, Sanyu ouvre la voie pour le mouvement des peintres chinois en France. Parmi ces derniers nous retrouverons des figures majeures de l’art contemporain du XXe et du XXIe siècle, en particulier Chu Teh-Chun et Zao Wou-Ki et plus proche de nous Yan Pei-Ming En embrassant définitivement l’abstraction Chu et Zao se départiront du maître Sanyu, qui pour sa part restera fidèle à la figuration dont il explorera toutes les nuances. ZAO WOU-K I Zao Wou-Ki naît à Pékin en février 1920. À 15 ans, il réussit avec succès l’examen d’entrée à l’Ecole des beaux-arts de Hangzhou et poursuit au long des huit années qui vont suivre, l’enseignement de professeurs chinois et occidentaux. Zao Wou-Ki est présenté pour la première fois en France par Vadime Elisseeff, qui emporte avec lui une vingtaine d’œuvres de l’artiste, dans le cadre de l’« Exposition de peintures chinoises contemporaines » du Musée Cernuschi. Ce n’est qu’en 1948, avec l’accord de son père, que l’artiste décide de poursuivre sa formation artistique en s’installant à Paris. Voisin de Giacometti à Montparnasse, Zao Wou-Ki passe ses après-midis entre le quartier des artistes et les galeries du Musée du Louvre. C’est à cette période qu’il avoue découvrir sa véritable personnalité. Ses œuvres laissent transparaitre la multiplicité des expériences techniques qu’il mène pour faire évoluer ses peintures de la figuration à l’abstraction. Passant par l’aquarelle, le fusain, la gouache, ou l’encre de Chine, qu’il arrête puis reprend sous les encouragements d’Henri Michaux dans les années 1970. L’artiste explore ses compositions abstraites, inspiré par les œuvres de Cézanne, Matisse et Picasso, qu’il étudie et observe au cours de ses études.
Sans titre, 1994 Encre de Chine sur papier, signée, datée et dédicacée à Christian Poninski en bas à droite 25.2 x 23 cm - 9 59/64 x 9 1/16 in. Cette oeuvre est répertoriée dans les archives de la Fondation Zao Wou-Ki et sera incluse dans le catalogue raisonné actuellement en préparation.Un certificat d'authenticité pourra être établi par la Fondation Zao Wou-Ki à la demande et aux frais de l'acquéreur. PROVENANCE Collection du Comte Christian Poninski, ParisCollection privée, Paris (acquis auprès du précédent en 2013) OEUVRES EN RAPPORT Cette oeuvre a inspiré une série d'estampes (Agerup 384). Chez l’imprimeur Desjobert, Zao Wou-Ki découvre la lithographie et peu de temps après, en 1950, parait le premier livre de bibliophilie, « Lecture par Henri Michaux de huit lithographies de Zao Wou-Ki ». La collaboration des deux artistes engage Henri Michaux dans l’écriture de huit lectures, qui accompagnent les lithographies de Zao Wou-Ki et qui engagera la série des livres de bibliophilie qu’ils réaliseront ensemble. Art contemporain asiatique Une génération avant Zao Wou-Ki le peintre chinois Sanyu s’était établi à Paris pour y trouver une source nouvelle à laquelle enrichir son art alors très marqué par la tradition picturale chinoise. Par son talent et son avant-gardisme, Sanyu ouvre la voie pour le mouvement des peintres chinois en France. Parmi ces derniers nous retrouverons des figures majeures de l’art contemporain du XXe et du XXIe siècle, en particulier Chu Teh-Chun et Zao Wou-Ki et plus proche de nous Yan Pei-Ming En embrassant définitivement l’abstraction Chu et Zao se départiront du maître Sanyu, qui pour sa part restera fidèle à la figuration dont il explorera toutes les nuances. ZAO WOU-K I Zao Wou-Ki naît à Pékin en février 1920. À 15 ans, il réussit avec succès l’examen d’entrée à l’Ecole des beaux-arts de Hangzhou et poursuit au long des huit années qui vont suivre, l’enseignement de professeurs chinois et occidentaux. Zao Wou-Ki est présenté pour la première fois en France par Vadime Elisseeff, qui emporte avec lui une vingtaine d’œuvres de l’artiste, dans le cadre de l’« Exposition de peintures chinoises contemporaines » du Musée Cernuschi. Ce n’est qu’en 1948, avec l’accord de son père, que l’artiste décide de poursuivre sa formation artistique en s’installant à Paris. Voisin de Giacometti à Montparnasse, Zao Wou-Ki passe ses après-midis entre le quartier des artistes et les galeries du Musée du Louvre. C’est à cette période qu’il avoue découvrir sa véritable personnalité. Ses œuvres laissent transparaitre la multiplicité des expériences techniques qu’il mène pour faire évoluer ses peintures de la figuration à l’abstraction. Passant par l’aquarelle, le fusain, la gouache, ou l’encre de Chine, qu’il arrête puis reprend sous les encouragements d’Henri Michaux dans les années 1970. L’artiste explore ses compositions abstraites, inspiré par les œuvres de Cézanne, Matisse et Picasso, qu’il étudie et observe au cours de ses études.
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