Monogold sans titre, (MG 26), circa 1960 Feuille d'or sur panneau 51,5 x 44,8 x 1 cm Provenance: Galerie Rive Droite, Paris Collection Philippe Dotremont, Bruxelles Bibliographie: Paul Wember, Yves Klein DuMont Schauberg, Cologne, 1969, décrit page 78 Nous remercions les Archives Yves Klein pour l'ensemble des informations communiquées « Quelle matière! Quelle meilleure école du respect de la matière picturale! [...] L'illumination de la matière dans sa qualité physique profonde, je l'ai reçue là, pendant cette année chez "SAVAGE" ». « Eh bien oui, je suis peintre: car la peinture, à mon avis, n'est de la peinture que si le peintre qui l'exécute peut y transmuer, par sa qualité justement de créateur, cette matière impalpable, cette matière picturale vivante qui imprègne le tableau et lui donne la vie éternelle ou tout au moins permanente en fonction de sa durée d'existence périssable. » « L'aventure monochrome » in Écrits, p. 246-248 « Ainsi, si l'or est le moyen d'accéder à l'absolu, il permet aussi de revenir au corps et au fluide qui l'anime, le sang. Car le corps a une vertu: il est la source d'inspiration à laquelle l'artiste doit sans cesse retourner ». Conférence d'Yves Klein à la Sorbonne en 1959
Monogold sans titre, (MG 26), circa 1960 Feuille d'or sur panneau 51,5 x 44,8 x 1 cm Provenance: Galerie Rive Droite, Paris Collection Philippe Dotremont, Bruxelles Bibliographie: Paul Wember, Yves Klein DuMont Schauberg, Cologne, 1969, décrit page 78 Nous remercions les Archives Yves Klein pour l'ensemble des informations communiquées « Quelle matière! Quelle meilleure école du respect de la matière picturale! [...] L'illumination de la matière dans sa qualité physique profonde, je l'ai reçue là, pendant cette année chez "SAVAGE" ». « Eh bien oui, je suis peintre: car la peinture, à mon avis, n'est de la peinture que si le peintre qui l'exécute peut y transmuer, par sa qualité justement de créateur, cette matière impalpable, cette matière picturale vivante qui imprègne le tableau et lui donne la vie éternelle ou tout au moins permanente en fonction de sa durée d'existence périssable. » « L'aventure monochrome » in Écrits, p. 246-248 « Ainsi, si l'or est le moyen d'accéder à l'absolu, il permet aussi de revenir au corps et au fluide qui l'anime, le sang. Car le corps a une vertu: il est la source d'inspiration à laquelle l'artiste doit sans cesse retourner ». Conférence d'Yves Klein à la Sorbonne en 1959
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