WATELET (Claude-Henri). L'Art de peindre, poëme, avec des réflexions sur les différentes parties de la peinture. Paris, H.-L. Guerin et L.-F. Delatour, 1760. Petit in-8, maroquin rouge à long grain, grecque dorée en encadrement, supralibris doré J. Taylor dans un cartouche torsadé sur le plat supérieur, dos lisse orné, coupes filetées, roulette intérieure dorée, tranches dorées (Reliure de l'époque). Première édition in-8, publiée en même temps que l'originale in-4 par les mêmes éditeurs. L'illustration comprend un frontispice, une vignette de titre, cinq en-têtes, huits portraits en médaillon de peintres célèbres, dix culs-de-lampe et deux planches au trait représentant Antinoüs et la Vénus de Medicis, le tout gravé à l'eau-forte par Watelet lui-même, si ce n'est quatre culs-de-lampe par Marguerite Lecomte, d'après les compositions de Jean-Baptiste Pierre Les quatre chants composant le poème didactique de Claude-Henri Watelet (1718-1786) sont consacrés tour à tour au Dessin, à la Couleur, à l’Invention pittoresque et à l’Invention poétique. Ils sont suivis de préceptes en prose sur les Proportions, l'Ensemble, l'Équilibre et le Mouvement des figures, la Beauté, la Grâce, l'Harmonie de la lumière et des couleurs, l'Effet, l'Expression et les Passions. Approfondies et retravaillées, ces réflexions par lesquelles l'auteur cherche à définir les arts et à déterminer les règles du beau vont lui fournir la matière du Dictionnaire des beaux-arts. Exemplaire exquis, dans une élégante reliure néoclassique anglaise réalisée pour un amateur du nom de J. Taylor. Il s'agit peut-être du peintre britannique John Taylor (1745-1806), qui fut un ami proche de David Garrick et que Benjamin Franklin tenait pour le meilleur peintre de paysages d'Angleterre. Des bibliothèques J. Taylor (supralibris), Lucien Tissot-Dupont (ex-libris), Peter A. Wick (ex-libris) et Edmond Lincoln. Mention d'achat chez Maggs Bros. en juin 1987. L'exemplaire ne comprend pas l'explication des gravures mentionnée dans la table (p. xxiii sq.), comme souvent, semble-t-il. Le faux-titre a été supprimé, pratique courante chez les relieurs anglais, et le feuillet A8 relié par erreur devant le feuillet A2. Cohen, 1052 – Cicognara, n°1004 – Lewine, 570-571 – Quérard, X, 490.
WATELET (Claude-Henri). L'Art de peindre, poëme, avec des réflexions sur les différentes parties de la peinture. Paris, H.-L. Guerin et L.-F. Delatour, 1760. Petit in-8, maroquin rouge à long grain, grecque dorée en encadrement, supralibris doré J. Taylor dans un cartouche torsadé sur le plat supérieur, dos lisse orné, coupes filetées, roulette intérieure dorée, tranches dorées (Reliure de l'époque). Première édition in-8, publiée en même temps que l'originale in-4 par les mêmes éditeurs. L'illustration comprend un frontispice, une vignette de titre, cinq en-têtes, huits portraits en médaillon de peintres célèbres, dix culs-de-lampe et deux planches au trait représentant Antinoüs et la Vénus de Medicis, le tout gravé à l'eau-forte par Watelet lui-même, si ce n'est quatre culs-de-lampe par Marguerite Lecomte, d'après les compositions de Jean-Baptiste Pierre Les quatre chants composant le poème didactique de Claude-Henri Watelet (1718-1786) sont consacrés tour à tour au Dessin, à la Couleur, à l’Invention pittoresque et à l’Invention poétique. Ils sont suivis de préceptes en prose sur les Proportions, l'Ensemble, l'Équilibre et le Mouvement des figures, la Beauté, la Grâce, l'Harmonie de la lumière et des couleurs, l'Effet, l'Expression et les Passions. Approfondies et retravaillées, ces réflexions par lesquelles l'auteur cherche à définir les arts et à déterminer les règles du beau vont lui fournir la matière du Dictionnaire des beaux-arts. Exemplaire exquis, dans une élégante reliure néoclassique anglaise réalisée pour un amateur du nom de J. Taylor. Il s'agit peut-être du peintre britannique John Taylor (1745-1806), qui fut un ami proche de David Garrick et que Benjamin Franklin tenait pour le meilleur peintre de paysages d'Angleterre. Des bibliothèques J. Taylor (supralibris), Lucien Tissot-Dupont (ex-libris), Peter A. Wick (ex-libris) et Edmond Lincoln. Mention d'achat chez Maggs Bros. en juin 1987. L'exemplaire ne comprend pas l'explication des gravures mentionnée dans la table (p. xxiii sq.), comme souvent, semble-t-il. Le faux-titre a été supprimé, pratique courante chez les relieurs anglais, et le feuillet A8 relié par erreur devant le feuillet A2. Cohen, 1052 – Cicognara, n°1004 – Lewine, 570-571 – Quérard, X, 490.
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