Toyohara Chikanobu (1838-1912) et Ochiai Yoshiiku (1833-1904), Japon, ère Meiji (1868-1912) Deux estampes ôban tate-e, une de la série « Azuma Nishiki Chuya Kurabe » (« Images de broderies d'Edo, comparaison jour et nuit ») représentant la belle Tamamo-no-mae, en fait un renard à neuf queues maléfique (visible en haut), signée « Yôshû Chikanobu hitsu » en bas à droite, datée Meiji 19 (1886), éditeur Tsunajima Kamekichi -marges raccourcies ; la seconde « Yoshida no hanako », n°39 de la série « Imayô nazorae Genji » (« Parodies modernes du Genji ») montrant la femme de Yoshida Korefusa parlant au fantôme de son fils, signée « Ikkeisai Yoshiiku ga », 1864. 34,4 x 24 ; 36 x 24,4 cm
Toyohara Chikanobu (1838-1912) et Ochiai Yoshiiku (1833-1904), Japon, ère Meiji (1868-1912) Deux estampes ôban tate-e, une de la série « Azuma Nishiki Chuya Kurabe » (« Images de broderies d'Edo, comparaison jour et nuit ») représentant la belle Tamamo-no-mae, en fait un renard à neuf queues maléfique (visible en haut), signée « Yôshû Chikanobu hitsu » en bas à droite, datée Meiji 19 (1886), éditeur Tsunajima Kamekichi -marges raccourcies ; la seconde « Yoshida no hanako », n°39 de la série « Imayô nazorae Genji » (« Parodies modernes du Genji ») montrant la femme de Yoshida Korefusa parlant au fantôme de son fils, signée « Ikkeisai Yoshiiku ga », 1864. 34,4 x 24 ; 36 x 24,4 cm
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