Cavalier oriental arrêté devant un ruisseau, vers 1856-1860 Dessin à la plume et à l’encre de Chine sur calque collé sur vélin. (Petits arrachements aux bords du calque). 19 x 14 cm (support 27 x 22 cm) Provenance: Ancienne collection Roger Marx, selon une note au verso du cadre. Notre dessin est une variante de celui reproduit par Dirk Van Gelder Rodolphe Bresdin Paris, éd. du Chêne, 1976, vol. I, p. 38, sous le titre Bataille dans la montagne, 1857 (conservé à l’Art Institute de Chicago). Il est à rapprocher également de Schamyl dans sa jeunesse (La Marche d’Attila), 1859, dessin conservé au Rijksmuseum d’Amsterdam (reproduit in Maxime Préaud et al., Rodolphe Bresdin 1822-1882, Robinson graveur, catalogue d’exposition, Paris, BnF, 2000, p. 24; également in Van Gelder, op. cit., p. 28). La figure du cavalier oriental y est très similaire. Une autre version du même sujet est conservée à la Bibliothèque nationale, Paris, sous le titre Le Cortège (1859), également reproduit par Van Gelder (p. 29). Dans son essai « Bresdin dessinateur », David P. Becker démontre que « l’artiste calquait souvent des images publiées dans des revues ou des livres illustrés » (Maxime Préaud et al., op. cit., p. 24). Les représentations de cavalier sont ainsi dérivées de « gravures sur bois illustrant le Journal de l’expédition des Portes de Fer de Charles Nodier (Paris, 1844) ». Ces prototypes de cavaliers gravés par Hebert d’après Raffet, représentant le colonel Youssouf et le prince d’Orléans à cheval (dont Bresdin fournit une sorte d’image fusionnée et syncrétique), sont reproduits in M. Préaud et al., p. 152, n118-119. L’artiste développa le sujet dans deux eaux-fortes, Le Cavalier oriental (Van Gelder 99, daté de 1861) et La Cavalière orientale dans les montagnes (Van Gelder 121, datée de 1866).
Cavalier oriental arrêté devant un ruisseau, vers 1856-1860 Dessin à la plume et à l’encre de Chine sur calque collé sur vélin. (Petits arrachements aux bords du calque). 19 x 14 cm (support 27 x 22 cm) Provenance: Ancienne collection Roger Marx, selon une note au verso du cadre. Notre dessin est une variante de celui reproduit par Dirk Van Gelder Rodolphe Bresdin Paris, éd. du Chêne, 1976, vol. I, p. 38, sous le titre Bataille dans la montagne, 1857 (conservé à l’Art Institute de Chicago). Il est à rapprocher également de Schamyl dans sa jeunesse (La Marche d’Attila), 1859, dessin conservé au Rijksmuseum d’Amsterdam (reproduit in Maxime Préaud et al., Rodolphe Bresdin 1822-1882, Robinson graveur, catalogue d’exposition, Paris, BnF, 2000, p. 24; également in Van Gelder, op. cit., p. 28). La figure du cavalier oriental y est très similaire. Une autre version du même sujet est conservée à la Bibliothèque nationale, Paris, sous le titre Le Cortège (1859), également reproduit par Van Gelder (p. 29). Dans son essai « Bresdin dessinateur », David P. Becker démontre que « l’artiste calquait souvent des images publiées dans des revues ou des livres illustrés » (Maxime Préaud et al., op. cit., p. 24). Les représentations de cavalier sont ainsi dérivées de « gravures sur bois illustrant le Journal de l’expédition des Portes de Fer de Charles Nodier (Paris, 1844) ». Ces prototypes de cavaliers gravés par Hebert d’après Raffet, représentant le colonel Youssouf et le prince d’Orléans à cheval (dont Bresdin fournit une sorte d’image fusionnée et syncrétique), sont reproduits in M. Préaud et al., p. 152, n118-119. L’artiste développa le sujet dans deux eaux-fortes, Le Cavalier oriental (Van Gelder 99, daté de 1861) et La Cavalière orientale dans les montagnes (Van Gelder 121, datée de 1866).
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