RENOIR, Auguste (1841-1919). Lettre autographe signée à [Paul-Antoine Bérard]. 4 pages in-8. (Traces de pliures.)
RENOIR, Auguste (1841-1919). Lettre autographe signée à [Paul-Antoine Bérard]. 4 pages in-8. (Traces de pliures.) BELLE LETTRE ADRESSÉE AU MÉCÈNE DE RENOIR, ÉVOQUANT LA PEINTURE, CLAUDE MONET ET CHARLES DEUDON. Lettre rédigée probalement en décembre 1873 lors d'un séjour du peintre à l'hôtel du Parc et de la Méditerranée à Monte-Carle. "Mon cher ami, Vous avez du voir ce pays il me semble bien que vous m'avez parlé de la corniche. C'est vraiment merveilleux. Que de jolis paysages, avec des horizons éloignés et des couleurs les plus belles". Renoir se plaint du changement trop brusque des températures surtout pour des gens d'un certain âge. "La fraîcheur glacée succède immédiatement à la chaleur et vraiment je crois qu'on envoie ici les malades pour les achever vite. Pays exquis pour les héritiers". Il évoque également Monet ("Monet qui était parti persuadé qu'il n'aimait pas le Midi est en contemplation du matin au soir") et donne des nouvelles de Charles Deudon ("il est à Naples"). C'est grâce à Deudon que Renoir rencontra Paul-Antoine Bérard, banquier et riche héritier qui lui commanda, dès 1879, des tableaux et portraits.
RENOIR, Auguste (1841-1919). Lettre autographe signée à [Paul-Antoine Bérard]. 4 pages in-8. (Traces de pliures.)
RENOIR, Auguste (1841-1919). Lettre autographe signée à [Paul-Antoine Bérard]. 4 pages in-8. (Traces de pliures.) BELLE LETTRE ADRESSÉE AU MÉCÈNE DE RENOIR, ÉVOQUANT LA PEINTURE, CLAUDE MONET ET CHARLES DEUDON. Lettre rédigée probalement en décembre 1873 lors d'un séjour du peintre à l'hôtel du Parc et de la Méditerranée à Monte-Carle. "Mon cher ami, Vous avez du voir ce pays il me semble bien que vous m'avez parlé de la corniche. C'est vraiment merveilleux. Que de jolis paysages, avec des horizons éloignés et des couleurs les plus belles". Renoir se plaint du changement trop brusque des températures surtout pour des gens d'un certain âge. "La fraîcheur glacée succède immédiatement à la chaleur et vraiment je crois qu'on envoie ici les malades pour les achever vite. Pays exquis pour les héritiers". Il évoque également Monet ("Monet qui était parti persuadé qu'il n'aimait pas le Midi est en contemplation du matin au soir") et donne des nouvelles de Charles Deudon ("il est à Naples"). C'est grâce à Deudon que Renoir rencontra Paul-Antoine Bérard, banquier et riche héritier qui lui commanda, dès 1879, des tableaux et portraits.
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