Peintre. Demande signée par Prinet pour l'obtention d'une carte d'études au profit de son élève Georges Lecaron, auprès de l'Académie de la Grande Chaumière, fondée en 1904, à Paris. Le document est accompagné d'une lettre autographe signée de Prinet adressée le 13 août 1923 à Georges Lecaron, l'invitant avec leur ami Jean-Eugène Bersier, dans sa maison de Bourbonne les Bains. Une autre lettre autographe signée adressée le 20 septembre 1934 à Georges Lecaron concerne la réussite de ce dernier lors de la vente de son tableau "Bouquet". Deux lettres autographes signées adressées le 6 janvier 1941 à Georges Lecaron, l'une par Madame Prinet, l'autre par son mari René-Xavier, sont sur fond de guerre et de crise. Prinet y réitère tout l'intérêt que ses deux élèves Lecaron et Bersier représentent, les remerciant des bonnes nouvelles de Jacques-Emile Blanche de la récupération de la famille Besnard, ne sachant pendant cette période trouble, de quels Besnard il s'agit, ou encore de nouvelles d'amis peintres. Dans la lettre qui l'accompagne sa femme Jeanne dénonce les tracas de la zone occupée, comme elle les dénonce encore dans sa lettre du 7 avril 1942, comme son époux dans sa lettre du lendemain. L'ensemble de la correspondance représente 17 pages in-8.
Peintre. Demande signée par Prinet pour l'obtention d'une carte d'études au profit de son élève Georges Lecaron, auprès de l'Académie de la Grande Chaumière, fondée en 1904, à Paris. Le document est accompagné d'une lettre autographe signée de Prinet adressée le 13 août 1923 à Georges Lecaron, l'invitant avec leur ami Jean-Eugène Bersier, dans sa maison de Bourbonne les Bains. Une autre lettre autographe signée adressée le 20 septembre 1934 à Georges Lecaron concerne la réussite de ce dernier lors de la vente de son tableau "Bouquet". Deux lettres autographes signées adressées le 6 janvier 1941 à Georges Lecaron, l'une par Madame Prinet, l'autre par son mari René-Xavier, sont sur fond de guerre et de crise. Prinet y réitère tout l'intérêt que ses deux élèves Lecaron et Bersier représentent, les remerciant des bonnes nouvelles de Jacques-Emile Blanche de la récupération de la famille Besnard, ne sachant pendant cette période trouble, de quels Besnard il s'agit, ou encore de nouvelles d'amis peintres. Dans la lettre qui l'accompagne sa femme Jeanne dénonce les tracas de la zone occupée, comme elle les dénonce encore dans sa lettre du 7 avril 1942, comme son époux dans sa lettre du lendemain. L'ensemble de la correspondance représente 17 pages in-8.
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