[René LALIQUE] Ensemble de 7 lettres autographes signées adressées à lui et une lettre à son épouse. Avec les 2 lettres du comédien Le Bargy et une lettre du peintre Jean-Léon Gérôme on recense une lettre du peintre Jean Beraud, une lettre de la mécène et collectionneuse russe, la princesse Ténicheff (Maria Klavdievna Tenicheva), et une lettre de l’historien d’art, Claude Roger-Marx, à l’en-tête de la Gazette des Beaux-arts . La lettre signée par le parfumeur François Coty, fait référence au poème Les Parfums de Lalique. Je reconnais à ce poème de très jolies qualités de finesse et d’originalité qui sont la caractéristique de votre talent que j’ai admiré sous réserves de ses premières manifestations. Je suis certain qu’il sera très goûté de mes fidèles acheteurs, mais je regretterai tout de même de n’avoir pu vous expliquer personnellement la place qu’il devrait occuper et surtout sa véritable raison d’être... . Le Bargy regrette d’avoir tardé à le remercier et de ne pas vous avoir dit plutôt combien j’ai été touché du Souvenir que vous m’avez envoyé, et combien les charmantes mains que vous aviez choisies pour me l’adresser y ont ajouté le prix . Jean Béraud est déçu de ne pas pouvoir apprécier chez lui la grande attraction de ses œuvres. Il espère que l’an prochain, cela sera possible. La princesse Ténicheff désireuse d’acheter un hôtel particulier pour y entreposer sa collection d’objets russes anciens, aimerait visiter le logement de Lalique avant de prendre une décision. Elle lui fait une offre de prix. Gérôme, ne pourra participer au dîner, votre banquet crucial . Une réservation prévue depuis longtemps, en est la raison. Le 15 février 1910, le critique Roger-Marx, lui dévoile son admiration. Tout, maître et ami m’émeut et me charme dans votre envoi : la fierté du décor, la perfection de la technique qui vous montre passé maître dans le noble art du verre, enfin la dédicace qui ajoute à tant de mérite, le prestige d’un cordial souvenir. Il ne se passera pas longtemps avant que j’aille vous dire combien me touche la constance de votre affection. D’ici là sachez, grand ami, cher ami que vous êtes toujours présent à ma sympathie, que je me félicite d’appartenir au temps qui vit se produire et se développer votre œuvre admirable pleine de sens, de beauté et de pensée sans cesse renouvelées... .
[René LALIQUE] Ensemble de 7 lettres autographes signées adressées à lui et une lettre à son épouse. Avec les 2 lettres du comédien Le Bargy et une lettre du peintre Jean-Léon Gérôme on recense une lettre du peintre Jean Beraud, une lettre de la mécène et collectionneuse russe, la princesse Ténicheff (Maria Klavdievna Tenicheva), et une lettre de l’historien d’art, Claude Roger-Marx, à l’en-tête de la Gazette des Beaux-arts . La lettre signée par le parfumeur François Coty, fait référence au poème Les Parfums de Lalique. Je reconnais à ce poème de très jolies qualités de finesse et d’originalité qui sont la caractéristique de votre talent que j’ai admiré sous réserves de ses premières manifestations. Je suis certain qu’il sera très goûté de mes fidèles acheteurs, mais je regretterai tout de même de n’avoir pu vous expliquer personnellement la place qu’il devrait occuper et surtout sa véritable raison d’être... . Le Bargy regrette d’avoir tardé à le remercier et de ne pas vous avoir dit plutôt combien j’ai été touché du Souvenir que vous m’avez envoyé, et combien les charmantes mains que vous aviez choisies pour me l’adresser y ont ajouté le prix . Jean Béraud est déçu de ne pas pouvoir apprécier chez lui la grande attraction de ses œuvres. Il espère que l’an prochain, cela sera possible. La princesse Ténicheff désireuse d’acheter un hôtel particulier pour y entreposer sa collection d’objets russes anciens, aimerait visiter le logement de Lalique avant de prendre une décision. Elle lui fait une offre de prix. Gérôme, ne pourra participer au dîner, votre banquet crucial . Une réservation prévue depuis longtemps, en est la raison. Le 15 février 1910, le critique Roger-Marx, lui dévoile son admiration. Tout, maître et ami m’émeut et me charme dans votre envoi : la fierté du décor, la perfection de la technique qui vous montre passé maître dans le noble art du verre, enfin la dédicace qui ajoute à tant de mérite, le prestige d’un cordial souvenir. Il ne se passera pas longtemps avant que j’aille vous dire combien me touche la constance de votre affection. D’ici là sachez, grand ami, cher ami que vous êtes toujours présent à ma sympathie, que je me félicite d’appartenir au temps qui vit se produire et se développer votre œuvre admirable pleine de sens, de beauté et de pensée sans cesse renouvelées... .
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