René Babin (1919-1997) Homme agenouillé de dos, 1968 Pierre noire sur papier Signé et daté en bas à droite « R. Babin 68 » 38 x 27,5 cm Né en 1919 à Paris, René Babin entre en 1935 à l’École des Arts Appliqués et assiste aux cours de sculpture de Robert Wlérick et de dessin de Charles Malfray pendant trois ans, où il se lie d’amitié avec Raymond Martin Jean Carton et Simon Goldberg. Il expose régulièrement au Salon des Indépendants, au Salon d’Automne et au Salon de la Jeune Sculpture. En 1964, Babin est invité à participer à la première exposition du Groupe des Neuf à la galerie Vendôme. Ses œuvres sont exposées dans deux importantes expositions internationales : Six sculpteurs européens à la Bianchini de New York en 1959 et une exposition à Stockholm en 1970, avec Charles Auffret et Gudmar Olovson « Homme pudique, peu enclin aux confidences, René Babin avait une prédilection pour ces formes ramassées, dans lesquelles l’épanouissement des masses et la mélodie des courbes sont une manière d’exprimer à eux seuls toute une vie intérieure faite de silence, d’émotion contenue et de frémissement. » (Dubois, Patrice, René Babin, exposition de sculptures, Paris, Axa Assurances, avenue Matignon, octobre - novembre 2001).
René Babin (1919-1997) Homme agenouillé de dos, 1968 Pierre noire sur papier Signé et daté en bas à droite « R. Babin 68 » 38 x 27,5 cm Né en 1919 à Paris, René Babin entre en 1935 à l’École des Arts Appliqués et assiste aux cours de sculpture de Robert Wlérick et de dessin de Charles Malfray pendant trois ans, où il se lie d’amitié avec Raymond Martin Jean Carton et Simon Goldberg. Il expose régulièrement au Salon des Indépendants, au Salon d’Automne et au Salon de la Jeune Sculpture. En 1964, Babin est invité à participer à la première exposition du Groupe des Neuf à la galerie Vendôme. Ses œuvres sont exposées dans deux importantes expositions internationales : Six sculpteurs européens à la Bianchini de New York en 1959 et une exposition à Stockholm en 1970, avec Charles Auffret et Gudmar Olovson « Homme pudique, peu enclin aux confidences, René Babin avait une prédilection pour ces formes ramassées, dans lesquelles l’épanouissement des masses et la mélodie des courbes sont une manière d’exprimer à eux seuls toute une vie intérieure faite de silence, d’émotion contenue et de frémissement. » (Dubois, Patrice, René Babin, exposition de sculptures, Paris, Axa Assurances, avenue Matignon, octobre - novembre 2001).
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