Rare paire de candélabres en bronze doré à quatre lumières à bobèches à lampes antiques et nuées à mascaron reposant sur une sphère étoilée supportée par trois hiboux surmontant des mufles de lion au sommet d’un fût en balustre à base triangulaire ornée de masques de Diane, têtes de chimère et pieds en griffe, le socle circulaire à décor guilloché. Attribués à Claude Galle ou Louis-Auguste Hervieu Époque Consulat (usures). H : 56,5 cm Le motif du hibou se retrouve sur une paire de flambeaux livrés par Claude Galle en 1804 au château de Fontainebleau (J-P. Samoyault, Musée national du château de Fontainebleau, Pendules et bronze d’ameublement entrés sous le Premier Empire, Paris, 1989, p.176, n°157). Par ailleurs une mention citée dans un catalogue de vente (Vente Neuilly, 11 juin 2012, lot 169) fait état d’une paire de flambeaux à hiboux en 1799 dans l’atelier de Claude Galle D’une manière plus générale, ces candélabres évoquent un autre modèle souvent réalisé en bronze patiné et doré présentant également une base triangulaire et trois hiboux surmontant une sphère, attribués par Jean-Dominique Augarde au bronze Louis-Auguste Hervieu (1765-1811) et dont un exemplaire a récemment été vendu à Paris, étude Brissonneau, le 21 mars 2018, lot 259 (Voir J.D. Augarde, Une nouvelle vision du bronze et des bronzier sous le Directoire et l’Empire, L’estampille l’objet d’art, n°398, p. 80-84).
Rare paire de candélabres en bronze doré à quatre lumières à bobèches à lampes antiques et nuées à mascaron reposant sur une sphère étoilée supportée par trois hiboux surmontant des mufles de lion au sommet d’un fût en balustre à base triangulaire ornée de masques de Diane, têtes de chimère et pieds en griffe, le socle circulaire à décor guilloché. Attribués à Claude Galle ou Louis-Auguste Hervieu Époque Consulat (usures). H : 56,5 cm Le motif du hibou se retrouve sur une paire de flambeaux livrés par Claude Galle en 1804 au château de Fontainebleau (J-P. Samoyault, Musée national du château de Fontainebleau, Pendules et bronze d’ameublement entrés sous le Premier Empire, Paris, 1989, p.176, n°157). Par ailleurs une mention citée dans un catalogue de vente (Vente Neuilly, 11 juin 2012, lot 169) fait état d’une paire de flambeaux à hiboux en 1799 dans l’atelier de Claude Galle D’une manière plus générale, ces candélabres évoquent un autre modèle souvent réalisé en bronze patiné et doré présentant également une base triangulaire et trois hiboux surmontant une sphère, attribués par Jean-Dominique Augarde au bronze Louis-Auguste Hervieu (1765-1811) et dont un exemplaire a récemment été vendu à Paris, étude Brissonneau, le 21 mars 2018, lot 259 (Voir J.D. Augarde, Une nouvelle vision du bronze et des bronzier sous le Directoire et l’Empire, L’estampille l’objet d’art, n°398, p. 80-84).
Try LotSearch and its premium features for 7 days - without any costs!
Be notified automatically about new items in upcoming auctions.
Create an alert