PIRMEZ, Octave - 5 lettres aut.s., corresp. divers dont Félicien Rops .
O. Pirmez, "le Solitaire d'Acoz" (1832-1883) fut un écrivain, philosophe, poète et essayiste belge. A Félicien Rops , s.l., 20/1/1861, 3 pp. sur 1 double f., pet. in-8. "Hélas oui ! je suis toujours à Acoz, solitaire écrivant, pleurnichant dans la solitude (...) Mais toi, mais toi, mon cher Félicien, comme tu es différent ! comme tu as de belles ailes, comme tu es brillant, comme [tu] voltiges dans les parterres et les corbeilles, comme tu es savant dans les fleurs (...)". Il lui demande de lui fournir 2 ou 3 portrait de l'assassin Jud. - Au même , ill. d'un petit dessin , s.l., s.d., 3 pp. sur 1 double f., in-12. Il corrige des épreuves à Bruxelles chez l'éditeur Parent et le remercie de le lui avoir recommandé. "C'est donc à toi que je devrai d'être enfin sorti de ma chrysalide (...) j'ai sous les yeux les Contes brabançons de De Coster; c'est parsemé de profondes lueurs de poësie; la forme est populaire, rude, mais d'une admirable fraîcheur de coloris". - A " Mon cher ami " [Ernest Scaron], Acoz, 19/5/1869, 1 1/2 pp. sur 1 double f., in-8. E. Scaron (Pirmez écrit "Scarron", 1835-1923), proche de Félicien Rops dont il fut l'un des premiers collectionneurs, auteur sous pseudonyme de " Mademoiselle Vallantin. Roman de mœurs" (1862). Il est enchanté de son appréciation des "Jours de solitude" [1869], s'enquiert de son 2e roman et espère recevoir sa visite tout en se livrant à des réflexions désabusées ("Vous exprimerez alors de vive voix vos espérance à celui qui n'a plus guère d'autre joie que de se plonger dans la fraîcheur des jours passés et d'ouïr les sons éloignés d'un cantique d'outre-monde"). - A " Mon cher Scarron ", Acoz, 22/5/1870, 4 pp. sur 1 double f., in-12. Il donne de nouvelles de sa santé et le pousse à écrire une 2e oeuvre (qui ne paraîtra en réalité en 1913) "d'une pâte bien ferme, comme la première, avec quelqu'ardeur de plus; plus de fougue anormale dans les personnages (...) plus d'enfoncement métaphysique (...) plus de poussée de la passion idéale (...)". - A " Mon cher Ernest " [Scaron], ill. d'un dessin , Bruxelles, s.d., 4 pp. sur 1 double f., in-12. Il espère le voir à Bruxelles où il séjourne; il retournera ensuite à Acoz puis voyagera en Allemagne. Le tout entremêlé de considérations philosophiques ("Maintenant, coulez, clepsydre !"). Joint : Rops, Félicien - Télégramme à Scaron , Bruxelles, 12/6/1868. - Verwée, Alfred - Lettre aut.s. au même , s.l., s.d., 1 p. sur 1 f., pet. in-8. - Leclercq, Emile - Lettre aut.s. au même , Etterbeek, 25/5/1877, 1 p. sur 1 f., pet. in-8. - Scaron, Ernest - Fragment de lettre aut.s. à Félicien Rops , s.l., s.d., partie inf. manquante. - [ Id. ?] - 3 textes aut. n.s. sous forme de lettres.
PIRMEZ, Octave - 5 lettres aut.s., corresp. divers dont Félicien Rops .
O. Pirmez, "le Solitaire d'Acoz" (1832-1883) fut un écrivain, philosophe, poète et essayiste belge. A Félicien Rops , s.l., 20/1/1861, 3 pp. sur 1 double f., pet. in-8. "Hélas oui ! je suis toujours à Acoz, solitaire écrivant, pleurnichant dans la solitude (...) Mais toi, mais toi, mon cher Félicien, comme tu es différent ! comme tu as de belles ailes, comme tu es brillant, comme [tu] voltiges dans les parterres et les corbeilles, comme tu es savant dans les fleurs (...)". Il lui demande de lui fournir 2 ou 3 portrait de l'assassin Jud. - Au même , ill. d'un petit dessin , s.l., s.d., 3 pp. sur 1 double f., in-12. Il corrige des épreuves à Bruxelles chez l'éditeur Parent et le remercie de le lui avoir recommandé. "C'est donc à toi que je devrai d'être enfin sorti de ma chrysalide (...) j'ai sous les yeux les Contes brabançons de De Coster; c'est parsemé de profondes lueurs de poësie; la forme est populaire, rude, mais d'une admirable fraîcheur de coloris". - A " Mon cher ami " [Ernest Scaron], Acoz, 19/5/1869, 1 1/2 pp. sur 1 double f., in-8. E. Scaron (Pirmez écrit "Scarron", 1835-1923), proche de Félicien Rops dont il fut l'un des premiers collectionneurs, auteur sous pseudonyme de " Mademoiselle Vallantin. Roman de mœurs" (1862). Il est enchanté de son appréciation des "Jours de solitude" [1869], s'enquiert de son 2e roman et espère recevoir sa visite tout en se livrant à des réflexions désabusées ("Vous exprimerez alors de vive voix vos espérance à celui qui n'a plus guère d'autre joie que de se plonger dans la fraîcheur des jours passés et d'ouïr les sons éloignés d'un cantique d'outre-monde"). - A " Mon cher Scarron ", Acoz, 22/5/1870, 4 pp. sur 1 double f., in-12. Il donne de nouvelles de sa santé et le pousse à écrire une 2e oeuvre (qui ne paraîtra en réalité en 1913) "d'une pâte bien ferme, comme la première, avec quelqu'ardeur de plus; plus de fougue anormale dans les personnages (...) plus d'enfoncement métaphysique (...) plus de poussée de la passion idéale (...)". - A " Mon cher Ernest " [Scaron], ill. d'un dessin , Bruxelles, s.d., 4 pp. sur 1 double f., in-12. Il espère le voir à Bruxelles où il séjourne; il retournera ensuite à Acoz puis voyagera en Allemagne. Le tout entremêlé de considérations philosophiques ("Maintenant, coulez, clepsydre !"). Joint : Rops, Félicien - Télégramme à Scaron , Bruxelles, 12/6/1868. - Verwée, Alfred - Lettre aut.s. au même , s.l., s.d., 1 p. sur 1 f., pet. in-8. - Leclercq, Emile - Lettre aut.s. au même , Etterbeek, 25/5/1877, 1 p. sur 1 f., pet. in-8. - Scaron, Ernest - Fragment de lettre aut.s. à Félicien Rops , s.l., s.d., partie inf. manquante. - [ Id. ?] - 3 textes aut. n.s. sous forme de lettres.
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