Les noces villageoises Panneau de chêne parqueté 40 x 57 cm Signé et daté en bas à gauche BRUEGHEL 1615 Provenance: Collection française depuis le début du XXe siècle. Cette scène de noces villageoises est un sujet très prisé par Pieter Brueghel Le Jeune, il y en a plusieurs versions mais la nôtre est la seule datée de 1615 (voir Kl. Ertz, Pieter Brueghel der Jüngere (1564 - 1637/38), Die Gemälde mit kritischem Oeuvrekatalog, Vol.II, Lingen, 2000). Pieter Brueghel formé à Anvers, est reçu maître en 1585. Il sera alors à la tête d'un atelier très productif. Pieter Brueghel l'Ancien reprendra certaines des oeuvres de son père pour répondre aux nombreuses demandes des collectionneurs. C'est par d'excellentes répliques du fils que l'on connait des oeuvres aujourd'hui perdues du père. Ce panneau aux couleurs détonantes fait partie des oeuvres les plus reconnaissables dans l'histoire de la peinture flamande. Les bleus et rouges vibrants apportent une énergie vitale à cette scène dont la myriade de petits détails, d'un humour lubrique, ainsi que la sensibilité narrative en font une oeuvre iconique qui traverse les siècles. Les danseurs tourbillonnant au premier plan, tournoyant au son de la cornemuse et de l'ambiance festive, ne manquent pas de boire quelques lampées de vin à même le pichet. D'autres, légèrement en retrait, s'embrassent langoureusement tandis que quelques hommes à gauche, tournant le dos au spectateur, soulagent discrètement un besoin naturel. Au centre de la composition, devant un drap tendu entre deux arbres, se dévoile la raison de cette réunion: la mariée, assise sous une couronne de fortune qui l'honore comme étant la «reine du jour», observe malicieusement les invités mettre de l'argent dans la grande assiette posée devant elle. Quelques spectateurs avides surveillent les offrandes tandis qu'un homme à la robe noire enregistre les dons.
Les noces villageoises Panneau de chêne parqueté 40 x 57 cm Signé et daté en bas à gauche BRUEGHEL 1615 Provenance: Collection française depuis le début du XXe siècle. Cette scène de noces villageoises est un sujet très prisé par Pieter Brueghel Le Jeune, il y en a plusieurs versions mais la nôtre est la seule datée de 1615 (voir Kl. Ertz, Pieter Brueghel der Jüngere (1564 - 1637/38), Die Gemälde mit kritischem Oeuvrekatalog, Vol.II, Lingen, 2000). Pieter Brueghel formé à Anvers, est reçu maître en 1585. Il sera alors à la tête d'un atelier très productif. Pieter Brueghel l'Ancien reprendra certaines des oeuvres de son père pour répondre aux nombreuses demandes des collectionneurs. C'est par d'excellentes répliques du fils que l'on connait des oeuvres aujourd'hui perdues du père. Ce panneau aux couleurs détonantes fait partie des oeuvres les plus reconnaissables dans l'histoire de la peinture flamande. Les bleus et rouges vibrants apportent une énergie vitale à cette scène dont la myriade de petits détails, d'un humour lubrique, ainsi que la sensibilité narrative en font une oeuvre iconique qui traverse les siècles. Les danseurs tourbillonnant au premier plan, tournoyant au son de la cornemuse et de l'ambiance festive, ne manquent pas de boire quelques lampées de vin à même le pichet. D'autres, légèrement en retrait, s'embrassent langoureusement tandis que quelques hommes à gauche, tournant le dos au spectateur, soulagent discrètement un besoin naturel. Au centre de la composition, devant un drap tendu entre deux arbres, se dévoile la raison de cette réunion: la mariée, assise sous une couronne de fortune qui l'honore comme étant la «reine du jour», observe malicieusement les invités mettre de l'argent dans la grande assiette posée devant elle. Quelques spectateurs avides surveillent les offrandes tandis qu'un homme à la robe noire enregistre les dons.
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