Cravate, 1970 Ensemble de dix sculptures en papier découpé sous plexiglass, signées, datées et numérotées 55, 128, 161, 203, 271, 303, 306, 328, 334, 365, éditées à 400 exemplaires Hauteur: 60 cm Chaque Pourront être divisées Pavlos DIONYSSOPOULOS dit PAVLOS (Né en 1930) Grec «Ma philosophie est de donner à voir aux autres dans les objets de la vie de tous les jours les plus ordinaires les plus proches de l'homme un peu de joie de magie de beauté.» Pavlos 2005. En 1949 il intègre l'école de Beaux-Arts d'Athènes. Il obtient au cours de ses études plusieurs bourses pour poursuivre des études à Paris où il va s'installer définitivement à la fin des années 50. Là il découvre le Paris des Nouveaux Réalistes. Il fréquente alors Calder, Giacometti, César, Yves Klein et Pierre Restany. Le nouvel environnement urbain dans lequel Pavlos est plongé l'éloigne de la peinture. Il commence ainsi à utiliser du papier d'affiches massicotées. Il travaille sur les effets de densité les couleurs et les reliefs des tranches d'affiches qu'il utilise. Il se met alors à travailler avec passion en suivant la logique interne de son matériau et découvre un élément essentiel de son langage artistique. Cette oeuvre le distingue des «affichistes» de l'époque (Hains, Villéglé, Rotella) et lui permet d'être remarqué au salon des Réalités Nouvelles en 1963 par Pierre Restany inspirateur et théoricien du groupe des Nouveaux Réalistes. Cette rencontre lui ouvre de nouveaux horizons et va déterminer les orientations de son futur travail. Mais l'oeuvre de Pavlos évolue vite. L'artiste délaisse l'abstraction et le baroque pour explorer les possibilités d'une nouvelle expressivité. En faisant suggérer à ses bandes la forme d'objets du quotidien Pavlos s'éloigne du Nouveau Réalisme et se rapproche du Pop Art. Pour autant il reste un électron libre du monde de l'art il ne s'engage dans aucun mouvement. Pavlos recrée les objets du quotidien: cravates, chemises, cigarettes, bouteilles, fruits. Il apporte une couleur et une légèreté au monde. Sources: Internet: www.laurentstrouk.com La galerie Stadler a organisé des expositions particulières de Dionyssopoulos Pavlos en 1971: Les Cravates et des expositions de groupe en 1967
Cravate, 1970 Ensemble de dix sculptures en papier découpé sous plexiglass, signées, datées et numérotées 55, 128, 161, 203, 271, 303, 306, 328, 334, 365, éditées à 400 exemplaires Hauteur: 60 cm Chaque Pourront être divisées Pavlos DIONYSSOPOULOS dit PAVLOS (Né en 1930) Grec «Ma philosophie est de donner à voir aux autres dans les objets de la vie de tous les jours les plus ordinaires les plus proches de l'homme un peu de joie de magie de beauté.» Pavlos 2005. En 1949 il intègre l'école de Beaux-Arts d'Athènes. Il obtient au cours de ses études plusieurs bourses pour poursuivre des études à Paris où il va s'installer définitivement à la fin des années 50. Là il découvre le Paris des Nouveaux Réalistes. Il fréquente alors Calder, Giacometti, César, Yves Klein et Pierre Restany. Le nouvel environnement urbain dans lequel Pavlos est plongé l'éloigne de la peinture. Il commence ainsi à utiliser du papier d'affiches massicotées. Il travaille sur les effets de densité les couleurs et les reliefs des tranches d'affiches qu'il utilise. Il se met alors à travailler avec passion en suivant la logique interne de son matériau et découvre un élément essentiel de son langage artistique. Cette oeuvre le distingue des «affichistes» de l'époque (Hains, Villéglé, Rotella) et lui permet d'être remarqué au salon des Réalités Nouvelles en 1963 par Pierre Restany inspirateur et théoricien du groupe des Nouveaux Réalistes. Cette rencontre lui ouvre de nouveaux horizons et va déterminer les orientations de son futur travail. Mais l'oeuvre de Pavlos évolue vite. L'artiste délaisse l'abstraction et le baroque pour explorer les possibilités d'une nouvelle expressivité. En faisant suggérer à ses bandes la forme d'objets du quotidien Pavlos s'éloigne du Nouveau Réalisme et se rapproche du Pop Art. Pour autant il reste un électron libre du monde de l'art il ne s'engage dans aucun mouvement. Pavlos recrée les objets du quotidien: cravates, chemises, cigarettes, bouteilles, fruits. Il apporte une couleur et une légèreté au monde. Sources: Internet: www.laurentstrouk.com La galerie Stadler a organisé des expositions particulières de Dionyssopoulos Pavlos en 1971: Les Cravates et des expositions de groupe en 1967
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