Nicolas LAVREINCE (Stockholm 1737 - 1807) La diseuse de bonne aventure Gouache. 47 x 55 cm Provenance : Collection Mühlbacher ; Vente Mühlbacher, Paris, Galerie Georges Petit (Me Chevallier), 16 mai 1899, n°178 ; Collection de Madame de Polès ; Vente Polès, Paris, Galerie Georges Petit, 22-24 juin 1927, n°10, reproduit ; Vente de la succession de Madame de Polès, Paris, galerie Charpentier, 17-18 novembre 1936, n°4, reproduit ; Collection de la baronne Cassel van Doorn ; Vente Cassel van Doorn, Paris, Galerie Charpentier, 30 mai 1956, n°20, reproduit ; Vente anonyme, Paris, Galerie Charpentier (Me Rheims), 3 décembre 1959, n°39, reproduit ; Chez Maurice Segoura ; Collection de Monsieur D. Bibliographie : P. Lespinasse, Lavreince, catalogue raisonné, Paris, 1928, p. 21, reproduit pl. XLI. Nicolas Lavreince, a été l'élève de son père le miniaturiste suédois Niclas Lafrensen A son arrivée à Paris en 1771 pour un séjour de quelques mois, il commença par se faire connaitre en peignant des petits portraits à l'aquarelle et à l'huile. Comme plusieurs grands artistes suédois, Roslin, Hall ou Wertmüller, il revint travailler à Paris entre 1774 et 1791. Il se spécialisa alors dans les dessins destinés à la gravure. Ses scènes de la vie quotidienne de la haute société ou bien ses scènes galantes ont été très appréciées par ses contemporains. Truffées d'anecdotes, de nombreux détails, elles constituent un important témoignage sur les années qui précédèrent la Révolution. De retour à Stockholm en 1791, il travailla à nouveau comme portraitiste. Le thème de La diseuse de bonne aventure a été traité par des artistes aussi différents que Le Caravage, Valentin de Boulogne La Tour, Lancret ou bien Fragonard. Lavreince en fait une scène dans l'esprit enjoué et charmant de l'Ancien Régime.
Nicolas LAVREINCE (Stockholm 1737 - 1807) La diseuse de bonne aventure Gouache. 47 x 55 cm Provenance : Collection Mühlbacher ; Vente Mühlbacher, Paris, Galerie Georges Petit (Me Chevallier), 16 mai 1899, n°178 ; Collection de Madame de Polès ; Vente Polès, Paris, Galerie Georges Petit, 22-24 juin 1927, n°10, reproduit ; Vente de la succession de Madame de Polès, Paris, galerie Charpentier, 17-18 novembre 1936, n°4, reproduit ; Collection de la baronne Cassel van Doorn ; Vente Cassel van Doorn, Paris, Galerie Charpentier, 30 mai 1956, n°20, reproduit ; Vente anonyme, Paris, Galerie Charpentier (Me Rheims), 3 décembre 1959, n°39, reproduit ; Chez Maurice Segoura ; Collection de Monsieur D. Bibliographie : P. Lespinasse, Lavreince, catalogue raisonné, Paris, 1928, p. 21, reproduit pl. XLI. Nicolas Lavreince, a été l'élève de son père le miniaturiste suédois Niclas Lafrensen A son arrivée à Paris en 1771 pour un séjour de quelques mois, il commença par se faire connaitre en peignant des petits portraits à l'aquarelle et à l'huile. Comme plusieurs grands artistes suédois, Roslin, Hall ou Wertmüller, il revint travailler à Paris entre 1774 et 1791. Il se spécialisa alors dans les dessins destinés à la gravure. Ses scènes de la vie quotidienne de la haute société ou bien ses scènes galantes ont été très appréciées par ses contemporains. Truffées d'anecdotes, de nombreux détails, elles constituent un important témoignage sur les années qui précédèrent la Révolution. De retour à Stockholm en 1791, il travailla à nouveau comme portraitiste. Le thème de La diseuse de bonne aventure a été traité par des artistes aussi différents que Le Caravage, Valentin de Boulogne La Tour, Lancret ou bien Fragonard. Lavreince en fait une scène dans l'esprit enjoué et charmant de l'Ancien Régime.
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