[Méry Laurent] -- Leopold MÉRY LAURENT DÉGUISÉE EN FERMIÈRE AUVERGNATE. PHOTOGRAPHIE ORIGINALE. ROYAT, AOÛT 1888. Tirage argentique d'époque ou aristotype (157 x 78 mm), contrecollé sur carton d'origine (175 x 85 mm). Annoté "Méry Laurent" au crayon dans la marge inférieure du tirage. Carton avec mention du photographe au recto et avec la marque du studio Léopold, Clermont-Ferrand, au verso. Tirage légèrement sali. Il existe également des photographies de Mallarmé déguisé en Auvergnat, prises le même jour. A la demande de Méry, Mallarmé l’avait rejointe, elle et son riche protecteur le Dr Evans, au Splendide Hôtel de Royat le 15 août 1888. Ils vont aux bains, se promènent, évoquent ceux qu’ils aiment : Verlaine, Villiers, Manet ou Whistler. Mais les jours passent vite et au bout de cette quinzaine, il doit retourner retrouver ses dames (sa femme Marie et sa fille Geneviève). C’est à la fin de ce séjour qu’ils posent tous deux en Auvergnats. Une autre épreuve de la même photographie est actuellement conservée à la Bibliothèque littéraire Jacques Doucet Références : Mallarmé, Musée d’Orsay, 1998, catalogue n° 208 pour un autre exemplaire. -- Femmes de Mallarmé, exposition Musée Stéphane Mallarmé 2011, p. 87, n° 80 ; voir aussi cat. 291 la photographie de Mallarmé déguisé de la même façon.
[Méry Laurent] -- Leopold MÉRY LAURENT DÉGUISÉE EN FERMIÈRE AUVERGNATE. PHOTOGRAPHIE ORIGINALE. ROYAT, AOÛT 1888. Tirage argentique d'époque ou aristotype (157 x 78 mm), contrecollé sur carton d'origine (175 x 85 mm). Annoté "Méry Laurent" au crayon dans la marge inférieure du tirage. Carton avec mention du photographe au recto et avec la marque du studio Léopold, Clermont-Ferrand, au verso. Tirage légèrement sali. Il existe également des photographies de Mallarmé déguisé en Auvergnat, prises le même jour. A la demande de Méry, Mallarmé l’avait rejointe, elle et son riche protecteur le Dr Evans, au Splendide Hôtel de Royat le 15 août 1888. Ils vont aux bains, se promènent, évoquent ceux qu’ils aiment : Verlaine, Villiers, Manet ou Whistler. Mais les jours passent vite et au bout de cette quinzaine, il doit retourner retrouver ses dames (sa femme Marie et sa fille Geneviève). C’est à la fin de ce séjour qu’ils posent tous deux en Auvergnats. Une autre épreuve de la même photographie est actuellement conservée à la Bibliothèque littéraire Jacques Doucet Références : Mallarmé, Musée d’Orsay, 1998, catalogue n° 208 pour un autre exemplaire. -- Femmes de Mallarmé, exposition Musée Stéphane Mallarmé 2011, p. 87, n° 80 ; voir aussi cat. 291 la photographie de Mallarmé déguisé de la même façon.
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