Mallarmé, Stéphane CANTATE POUR LA PREMIÈRE COMMUNION. POÈME AUTOGRAPHE. [SENS] JUILLET 1858. 3 p. in-8 (198 x 133 mm). Encre bleue. Trace de pliure en 4, déchirure restaurée, tache sur le 1er feuillet. Cantate pour la cérémonie de la première communion du 27 juin 1858. Lycéen à Sens, Mallarmé se fait remarquer pour sa plume prolixe et la longueur de ses narrations. C’est l’époque à laquelle il commence à s'imaginer poète. Il est d’ailleurs de ceux qui, pour la cérémonie de leur première communion solennelle, célèbrent l’événement en rimes et il compose alors cette "Cantate pour la première communion". Ces vers et d’autres productions le font remarquer : à la distribution des prix de 1858, son nom est plusieurs fois cité, pour un prix de narration française, mais aussi de version latine, de vers latins et de langue anglaise. Très belle graphie. "Mallarmé se plait à donner à ses majuscules de départ des courbes ornementales" (Documents Stéphane Mallarmé, III, p. 43). Plus tardivement, Mallarmé a ajouté cette indication : "Vers pour la Première communion au lycée de Sens", à l’encre noire. Son gendre, Edmond Bonniot, publia ce manuscrit en fac-similé pour la première fois en 1926. Exposition : Mallarmé, Musée Orsay, 1998, cat. 5. Références : Manuscrit Autographe, 1re année, n° 3, mai-juin 1926, p. 11-12. -- Documents Stéphane Mallarmé, III, 1971, p. 43-45. -- Œuvres complètes, I, p. 170-171.
Mallarmé, Stéphane CANTATE POUR LA PREMIÈRE COMMUNION. POÈME AUTOGRAPHE. [SENS] JUILLET 1858. 3 p. in-8 (198 x 133 mm). Encre bleue. Trace de pliure en 4, déchirure restaurée, tache sur le 1er feuillet. Cantate pour la cérémonie de la première communion du 27 juin 1858. Lycéen à Sens, Mallarmé se fait remarquer pour sa plume prolixe et la longueur de ses narrations. C’est l’époque à laquelle il commence à s'imaginer poète. Il est d’ailleurs de ceux qui, pour la cérémonie de leur première communion solennelle, célèbrent l’événement en rimes et il compose alors cette "Cantate pour la première communion". Ces vers et d’autres productions le font remarquer : à la distribution des prix de 1858, son nom est plusieurs fois cité, pour un prix de narration française, mais aussi de version latine, de vers latins et de langue anglaise. Très belle graphie. "Mallarmé se plait à donner à ses majuscules de départ des courbes ornementales" (Documents Stéphane Mallarmé, III, p. 43). Plus tardivement, Mallarmé a ajouté cette indication : "Vers pour la Première communion au lycée de Sens", à l’encre noire. Son gendre, Edmond Bonniot, publia ce manuscrit en fac-similé pour la première fois en 1926. Exposition : Mallarmé, Musée Orsay, 1998, cat. 5. Références : Manuscrit Autographe, 1re année, n° 3, mai-juin 1926, p. 11-12. -- Documents Stéphane Mallarmé, III, 1971, p. 43-45. -- Œuvres complètes, I, p. 170-171.
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