LOUIS XV, roi de France (1710-1774). Lettre signée, adressée au pape Clément XIV, située et datée Compiègne le 25 juillet 1763. 4 pages in-4 sur un feuillet double (230 x 187 mm), avec son feuillet de suscription "à notre très S t père, Le Pape", et deux cachets.
LOUIS XV, roi de France (1710-1774). Lettre signée, adressée au pape Clément XIV, située et datée Compiègne le 25 juillet 1763. 4 pages in-4 sur un feuillet double (230 x 187 mm), avec son feuillet de suscription "à notre très S t père, Le Pape", et deux cachets. LONGUE LETTRE À CLÉMENT XIV DANS LAQUELLE LE ROI PREND LA DÉFENSE DE L'ÉVÊQUE DE SOISSONS. Elle fut rédigée l'année de la disparition la Compagnie de Jésus en France. Le roi confirme d'abord son entière obéissance "[...] qu'elle n'a rien d'incompatible avec le désir le plus ardent de faire rendre à l'autorité du chef de l'Eglise l'obéissance et la soumission qui lui sont dues". Il poursuit sa requête en défendant la cause de l'évêque de Soissons qui ne lui "paroît pas avoir franchi des bornes [de modération]" et affirme que "ce prélat n'a jamais cessé d'être animé des sentiments de respect, de soumission et d'obéissance".
LOUIS XV, roi de France (1710-1774). Lettre signée, adressée au pape Clément XIV, située et datée Compiègne le 25 juillet 1763. 4 pages in-4 sur un feuillet double (230 x 187 mm), avec son feuillet de suscription "à notre très S t père, Le Pape", et deux cachets.
LOUIS XV, roi de France (1710-1774). Lettre signée, adressée au pape Clément XIV, située et datée Compiègne le 25 juillet 1763. 4 pages in-4 sur un feuillet double (230 x 187 mm), avec son feuillet de suscription "à notre très S t père, Le Pape", et deux cachets. LONGUE LETTRE À CLÉMENT XIV DANS LAQUELLE LE ROI PREND LA DÉFENSE DE L'ÉVÊQUE DE SOISSONS. Elle fut rédigée l'année de la disparition la Compagnie de Jésus en France. Le roi confirme d'abord son entière obéissance "[...] qu'elle n'a rien d'incompatible avec le désir le plus ardent de faire rendre à l'autorité du chef de l'Eglise l'obéissance et la soumission qui lui sont dues". Il poursuit sa requête en défendant la cause de l'évêque de Soissons qui ne lui "paroît pas avoir franchi des bornes [de modération]" et affirme que "ce prélat n'a jamais cessé d'être animé des sentiments de respect, de soumission et d'obéissance".
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