LA PEROUSE, Jean-François-de Galaup, comte de (1741-1788). Note autographe signée et contresignée par Thévenard. Brest: 18 juillet 1785. Petit in-8 oblong (112 x 192 mm). (Pâles rousseurs). EMOUVANT BILLET AUTOGRAPHE CONCERNANT LA BOUSSOLE ET RÉDIGÉ À BREST AVANT SON DÉPART POUR SON ULTIME VOYAGE. La Pérouse partit de Brest le 1 e r août 1785 pour une expédition de découverte autour du monde sur les navires la Boussole et l'Astrolabe . Arrivé un mois plus tôt à Brest, il note, le 4 juillet, que l'armement des frégates est déjà bien avancé (Correspondance). Quelques jours plus tard, sur le présent document, il dresse une liste d'éléments supplémentaires à embarquer sur la Boussole "deux porte-voix six milliers de vieux fer pour lest[er] un fanal sourd". Chaque pièce ayant été cochée d'un croix, on peut imaginer que cet équipement fut bien embarqué à bord du vaisseau, qui disparut corps et biens sur les côtes de Vanikoro (Mélanésie). L'ordre est contresigné par Thévenard, sans doute Antoine-Jean-Marie Thévenard (1733-1815), nommé chef d'escadre en 1784 puis ministre de la Marine en 1791. LES MANUSCRITS AUTOGRAPHES DE LA PÉROUSE SONT DE LA PLUS GRANDE RARETÉ.
LA PEROUSE, Jean-François-de Galaup, comte de (1741-1788). Note autographe signée et contresignée par Thévenard. Brest: 18 juillet 1785. Petit in-8 oblong (112 x 192 mm). (Pâles rousseurs). EMOUVANT BILLET AUTOGRAPHE CONCERNANT LA BOUSSOLE ET RÉDIGÉ À BREST AVANT SON DÉPART POUR SON ULTIME VOYAGE. La Pérouse partit de Brest le 1 e r août 1785 pour une expédition de découverte autour du monde sur les navires la Boussole et l'Astrolabe . Arrivé un mois plus tôt à Brest, il note, le 4 juillet, que l'armement des frégates est déjà bien avancé (Correspondance). Quelques jours plus tard, sur le présent document, il dresse une liste d'éléments supplémentaires à embarquer sur la Boussole "deux porte-voix six milliers de vieux fer pour lest[er] un fanal sourd". Chaque pièce ayant été cochée d'un croix, on peut imaginer que cet équipement fut bien embarqué à bord du vaisseau, qui disparut corps et biens sur les côtes de Vanikoro (Mélanésie). L'ordre est contresigné par Thévenard, sans doute Antoine-Jean-Marie Thévenard (1733-1815), nommé chef d'escadre en 1784 puis ministre de la Marine en 1791. LES MANUSCRITS AUTOGRAPHES DE LA PÉROUSE SONT DE LA PLUS GRANDE RARETÉ.
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