Auktionsarchiv: Los-Nr. 135

Kurt SELIGMANN (Bâle 1900 - Sugar Loaf 1962)

Schätzpreis
Zuschlagspreis:
n. a.
Auktionsarchiv: Los-Nr. 135

Kurt SELIGMANN (Bâle 1900 - Sugar Loaf 1962)

Schätzpreis
Zuschlagspreis:
n. a.
Beschreibung:

Dream Factory Huile sur toile d'origine 38 x 46 cm Signé et daté en bas à droite K. Seligmann 48 Porte sur le châssis une ancienne étiquette partiellement déchirée N°3 Dream Factory, une autre étiquette très déchirée, la mention à la peinture rouge sur le châssis 20. Provenance : Galerie Maeght Collection particulière Expositions : Kurt Seligmann Durlacher Brothers, New- York, 30 Nov -24 Dec 1948, n° 5 Kurt Seligmann Galerie Maeght, Paris, Avril 1949, n° 1 Fabrique de Rêves Surréalistische Malerei in Europa/ Peinture surréaliste en Europe, Saarebrück, Saarlandmuseum, 1952, n°85,"Dream Factory", exposition organisée par Man Ray Phantastische Kunst des XX Jahrhunderts, Constance, Kunstmuseum 1953. Bibliographie: Tyger Eye, N° 6 Décembre 1948, reproduit en couleurs Une lettre de Kurt Seligmann à Hernu Peron (Emballeur?) du 19 septembre 1950, notifiant qu'un groupe de tableaux incluant Usine à Rêve( sic) reste en France c'est à dire à la galerie Maeght Nous remercions Monsieur Stephan Hauser de nous avoir aidés dans nos recherches Cette œuvre sera incluse au catalogue raisonné de l’œuvre de Kurt Seligmann actuellement en préparation. Un certificat de Monsieur Stephan Hauser sera remis à l’acquéreur Tout à la fois suisse et américain, Kurt Seligman, fit ses classes chez André Lhote Colarossi et à l’académie de la Grande Chaumière. La rencontre avec Hans Arp et les autres membres du groupe Abstraction-Creation et l’engagement le mouvement surréaliste avec Jacques Herold , Oscar Dominguez Richard Oelze et Hans Bellmer donnèrent à son expression une toute autre forme dès 1934. Développant dans ses peintures une combinaison unique alliant l’héritage de l’art naif et folklorique suisse au surréalisme , il réussit à créer son style que certains critiques comme Jean Cassou considèreront comme « Vraiment baroque » , d’autres comme plein d’énergie ou comme James Johnson Sweeney , directeur du Guggenheim Museum New York « violence of expression and « an urgency and fever that brings his work closer to expressionism than to classical repose » Kurt et Arlette Seigmann s’installent en 1937 Villa Seurat, mais à la suite de l’invasion de la Pologne par les Allemands ils décident de partit en 1939 pour es Etats Unis où il expose la galerie Nierendorf . Il aide plusieurs de ses amis surréalistes à émigrer aux Etats Unis et à y trouver refuge, André Breton n’hésitant pas à lui écrire « Je suis convaincu que l’avenir du surréalisme est là où tu es » Bien que devenus citoyens américains les Seligmann ont conservé leur maison de la villa Seurat et y hébergent leurs amis Paalen ou Noguchi ; de même qu’il garde des liens avec Paris et les Galeries Françaises dont la galerie Maeght qui lui consacre en 1949 une exposition rétrospective ainsi qu’un numéro (49) de Derrière Le Miroir. Notre tableau fit parti de cette rétrospective ainsi que de expositions suivantes à Sarrebruck et Constance, depuis les années 50 ce tableau n’était pas apparu sur le marché.

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Dream Factory Huile sur toile d'origine 38 x 46 cm Signé et daté en bas à droite K. Seligmann 48 Porte sur le châssis une ancienne étiquette partiellement déchirée N°3 Dream Factory, une autre étiquette très déchirée, la mention à la peinture rouge sur le châssis 20. Provenance : Galerie Maeght Collection particulière Expositions : Kurt Seligmann Durlacher Brothers, New- York, 30 Nov -24 Dec 1948, n° 5 Kurt Seligmann Galerie Maeght, Paris, Avril 1949, n° 1 Fabrique de Rêves Surréalistische Malerei in Europa/ Peinture surréaliste en Europe, Saarebrück, Saarlandmuseum, 1952, n°85,"Dream Factory", exposition organisée par Man Ray Phantastische Kunst des XX Jahrhunderts, Constance, Kunstmuseum 1953. Bibliographie: Tyger Eye, N° 6 Décembre 1948, reproduit en couleurs Une lettre de Kurt Seligmann à Hernu Peron (Emballeur?) du 19 septembre 1950, notifiant qu'un groupe de tableaux incluant Usine à Rêve( sic) reste en France c'est à dire à la galerie Maeght Nous remercions Monsieur Stephan Hauser de nous avoir aidés dans nos recherches Cette œuvre sera incluse au catalogue raisonné de l’œuvre de Kurt Seligmann actuellement en préparation. Un certificat de Monsieur Stephan Hauser sera remis à l’acquéreur Tout à la fois suisse et américain, Kurt Seligman, fit ses classes chez André Lhote Colarossi et à l’académie de la Grande Chaumière. La rencontre avec Hans Arp et les autres membres du groupe Abstraction-Creation et l’engagement le mouvement surréaliste avec Jacques Herold , Oscar Dominguez Richard Oelze et Hans Bellmer donnèrent à son expression une toute autre forme dès 1934. Développant dans ses peintures une combinaison unique alliant l’héritage de l’art naif et folklorique suisse au surréalisme , il réussit à créer son style que certains critiques comme Jean Cassou considèreront comme « Vraiment baroque » , d’autres comme plein d’énergie ou comme James Johnson Sweeney , directeur du Guggenheim Museum New York « violence of expression and « an urgency and fever that brings his work closer to expressionism than to classical repose » Kurt et Arlette Seigmann s’installent en 1937 Villa Seurat, mais à la suite de l’invasion de la Pologne par les Allemands ils décident de partit en 1939 pour es Etats Unis où il expose la galerie Nierendorf . Il aide plusieurs de ses amis surréalistes à émigrer aux Etats Unis et à y trouver refuge, André Breton n’hésitant pas à lui écrire « Je suis convaincu que l’avenir du surréalisme est là où tu es » Bien que devenus citoyens américains les Seligmann ont conservé leur maison de la villa Seurat et y hébergent leurs amis Paalen ou Noguchi ; de même qu’il garde des liens avec Paris et les Galeries Françaises dont la galerie Maeght qui lui consacre en 1949 une exposition rétrospective ainsi qu’un numéro (49) de Derrière Le Miroir. Notre tableau fit parti de cette rétrospective ainsi que de expositions suivantes à Sarrebruck et Constance, depuis les années 50 ce tableau n’était pas apparu sur le marché.

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