Jules BARBEY D’AUREVILLY. L.A.S., Paris 8 mars 1882, à Madame Théodore de Banville ; 1 page et demie in-8 à l’encre rouge à sa devise Never More, enveloppe avec cachet de cire rouge. Belle lettre. « Vous me vengez de toutes mes misfortunes en me priant à dîner. Je serai au moins sûr de vous rencontrer dans un milieu où vous êtes charmante – ce milieu de la maîtresse de maison qui se charge du bonheur de ceux qu’elle invite ». Il se réjouit à l’avance de dîner avec Madame Dumont après la perte de leur ami commun Hector de Saint-Maur : « ce me sera un plaisir mélancolique (il y en a) et profond de la rencontrer chez vous ». Il serre la main « de votre adorable mari que j’aime deux fois plus, parce qu’il aimait ce que j’aimais (Alfred de Vigny), et qu’il le témoigne si noblement dans le Gil Blas »...
Jules BARBEY D’AUREVILLY. L.A.S., Paris 8 mars 1882, à Madame Théodore de Banville ; 1 page et demie in-8 à l’encre rouge à sa devise Never More, enveloppe avec cachet de cire rouge. Belle lettre. « Vous me vengez de toutes mes misfortunes en me priant à dîner. Je serai au moins sûr de vous rencontrer dans un milieu où vous êtes charmante – ce milieu de la maîtresse de maison qui se charge du bonheur de ceux qu’elle invite ». Il se réjouit à l’avance de dîner avec Madame Dumont après la perte de leur ami commun Hector de Saint-Maur : « ce me sera un plaisir mélancolique (il y en a) et profond de la rencontrer chez vous ». Il serre la main « de votre adorable mari que j’aime deux fois plus, parce qu’il aimait ce que j’aimais (Alfred de Vigny), et qu’il le témoigne si noblement dans le Gil Blas »...
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