Joseph BERNARD (1866-1931) Chants immortels Bronze à la patine brun foncé. Signé J. Bernard numéroté 5 et porte le cachet du fondeur Cire perdue Valsuani à l’arrière. H. 47 cm dont socle en marbre noir de Belgique H. 18,5 cm ŒUVRES EN RAPPORT : Joseph Bernard De l’aurore à l’Harmonie, 1906-1907, trois têtes de plâtre du groupe, conservées à la Fonderie de Coubertin ; Joseph Bernard Chants immortels (nom donné à notre tête) bronze, fonte A.A. Hébrard, 1908, H. 29,5 x 22 x 26 cm, quatre épreuves répertoriées ; Joseph Bernard Chants immortels, 1908, marbre d’Asie, Saint-Rémy-lès-Chevreuse, Fondation de Coubertin. LITTERATURE EN RAPPORT : René Jullian, Joseph Bernard Ed. Fondation de Coubertin, Saint-Rémy-les-Chevreuses, 1989 ; illustration montrant l’œuvre De l’Aurore à l’apothéose, n°118, p. 291 ; Catherine Chevillot, Paris, creuset pour la sculpture (1904-1914), vol III. Annexe, p.19. Joseph Bernard Chants immortels, 1927, bronze à patine noire, cachet du fondeur, signée, numérotée et datée à l’arrière « Cire perdue C. Valsuani, J. Bernard n°3 », 1927, vente Artcurial du 27 mars 2013 , lot 280. Cette tête en bronze représentant une chanteuse témoigne de l’intérêt que porte précocement l’artiste Joseph Bernard à la thématique du chant. Il travaille en effet en 1904 à un projet de monument en hommage à Beethoven qui ne voit jamais le jour. De ce travail découle un groupement de trois têtes de jeunes filles en plâtre que l’artiste intitule De l’aurore à l’Apothéose, maquette pour Le Chant, lors de sa première exposition personnelle organisée par l’éditeur et fondeur Adrien Aurélien Hébrard (n°74 bis) Trois têtes, bouche ouverte à des degrés divers selon la partie chantée, sont réparties sur des bases géométriques disposées en gradin. L‘ensemble également intitulé Chants immortels devait représenter le symbole de la communion avec l’infini. Notre œuvre correspond à la tête placée dans la partie supérieure. « Le catalogue raisonné de l’artiste rédigé en 1989 indique que quatre épreuves ont été vendues et que l’édition de cette œuvre n’est pas achevée. Le registre original de vente des œuvres de Joseph Bernard tenu par son épouse Léonie Bernard, indique bien cependant la vente en 1949 d’un exemplaire en bronze numéroté 5 de Chants Immortels, mais sans mention de fondeur . » ( Archives déposées à la Fondation Coubertin )
Joseph BERNARD (1866-1931) Chants immortels Bronze à la patine brun foncé. Signé J. Bernard numéroté 5 et porte le cachet du fondeur Cire perdue Valsuani à l’arrière. H. 47 cm dont socle en marbre noir de Belgique H. 18,5 cm ŒUVRES EN RAPPORT : Joseph Bernard De l’aurore à l’Harmonie, 1906-1907, trois têtes de plâtre du groupe, conservées à la Fonderie de Coubertin ; Joseph Bernard Chants immortels (nom donné à notre tête) bronze, fonte A.A. Hébrard, 1908, H. 29,5 x 22 x 26 cm, quatre épreuves répertoriées ; Joseph Bernard Chants immortels, 1908, marbre d’Asie, Saint-Rémy-lès-Chevreuse, Fondation de Coubertin. LITTERATURE EN RAPPORT : René Jullian, Joseph Bernard Ed. Fondation de Coubertin, Saint-Rémy-les-Chevreuses, 1989 ; illustration montrant l’œuvre De l’Aurore à l’apothéose, n°118, p. 291 ; Catherine Chevillot, Paris, creuset pour la sculpture (1904-1914), vol III. Annexe, p.19. Joseph Bernard Chants immortels, 1927, bronze à patine noire, cachet du fondeur, signée, numérotée et datée à l’arrière « Cire perdue C. Valsuani, J. Bernard n°3 », 1927, vente Artcurial du 27 mars 2013 , lot 280. Cette tête en bronze représentant une chanteuse témoigne de l’intérêt que porte précocement l’artiste Joseph Bernard à la thématique du chant. Il travaille en effet en 1904 à un projet de monument en hommage à Beethoven qui ne voit jamais le jour. De ce travail découle un groupement de trois têtes de jeunes filles en plâtre que l’artiste intitule De l’aurore à l’Apothéose, maquette pour Le Chant, lors de sa première exposition personnelle organisée par l’éditeur et fondeur Adrien Aurélien Hébrard (n°74 bis) Trois têtes, bouche ouverte à des degrés divers selon la partie chantée, sont réparties sur des bases géométriques disposées en gradin. L‘ensemble également intitulé Chants immortels devait représenter le symbole de la communion avec l’infini. Notre œuvre correspond à la tête placée dans la partie supérieure. « Le catalogue raisonné de l’artiste rédigé en 1989 indique que quatre épreuves ont été vendues et que l’édition de cette œuvre n’est pas achevée. Le registre original de vente des œuvres de Joseph Bernard tenu par son épouse Léonie Bernard, indique bien cependant la vente en 1949 d’un exemplaire en bronze numéroté 5 de Chants Immortels, mais sans mention de fondeur . » ( Archives déposées à la Fondation Coubertin )
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