JEAN-BAPTISTE GREUZE L.S., [au citoyen Tupinier, à Tournus] ; 1 page in-4. « Je n'osois pas vous écrire, de crainte d'apprendre une mauvaise nouvelle. Le jugement des hommes est si incertain, que je crois devoir à vos lumierres et à votre amitié le succès de mon affaire. Vous êtes le premier ami que j'aie trouvé dans ma longue existence, sur lequel j'aie pu compter. Je vous envoie ma procuration pour que vous puissies couronner vos bienfaits, et mettre le comble à ma reconnaissance qui ne finira qu'avec ma vie ; je vous rends maître, de faire tout ce que vous feriés pour vous même. Vendés la maison, en conservant pour ma cousinne Comerçon les bienfaits de ma mere, que je respecterai tant que je vivrai »… Il serait enchanté que Mme son épouse ait part à sa reconnaissance, « en lui traceant son portrait
JEAN-BAPTISTE GREUZE L.S., [au citoyen Tupinier, à Tournus] ; 1 page in-4. « Je n'osois pas vous écrire, de crainte d'apprendre une mauvaise nouvelle. Le jugement des hommes est si incertain, que je crois devoir à vos lumierres et à votre amitié le succès de mon affaire. Vous êtes le premier ami que j'aie trouvé dans ma longue existence, sur lequel j'aie pu compter. Je vous envoie ma procuration pour que vous puissies couronner vos bienfaits, et mettre le comble à ma reconnaissance qui ne finira qu'avec ma vie ; je vous rends maître, de faire tout ce que vous feriés pour vous même. Vendés la maison, en conservant pour ma cousinne Comerçon les bienfaits de ma mere, que je respecterai tant que je vivrai »… Il serait enchanté que Mme son épouse ait part à sa reconnaissance, « en lui traceant son portrait
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