Jaguar XK 150 S coupé 1961 La dernière version de la lignée des Jaguar XK fut dévoilée au printemps 1957. La XK 150 succédait aux XK 120 et XK 140 et tentait de faire oublier l’âge du concept dont l’origine remontait à l’immédiat après-guerre. Mécaniquement, la XK 150 conservait le même châssis avec le moteur 3,4 litres et la transmission Moss à quatre rapports que ses devancières 120 et 140. Avec 210 ch, la puissance du 6 cylindres 3, 4 litres en ligne était identique à celle de la XK 140 et les performances étaient sensiblement similaires. Mais à partir de 1958, la version S du 3, 4 litres à culasse straightport offrait, elle, 250 ch ! L’une des évolutions mécaniques les plus intéressantes du nouveau modèle résidait dans ses freins à disque Dunlop, hérités des Type C du Mans. Le fading, problème récurrent sur les modèles à freins à tambour, n’était plus qu’un souvenir et la XK 150 avait désormais un freinage à la hauteur de sa vitesse de pointe de 190 km/h. La XK 150 fut construite à près de 10 000 unités jusqu’en 1961. Extérieurement, une ligne d’aile plus haute et une calandre plus large la distinguaient immédiatement des XK 120/140, mais la différence la plus importante résidait dans sa carrosserie nettement plus large qui avait permis d’augmenter l’habitabilité. Jaguar avait réussi ce tour de force en ajoutant une bande de tôle de 10 cm au centre de la carrosserie, de chaque côté de laquelle on soudait les éléments latéraux emboutis, ce qui avait permis de limiter les coûts de modernisation. La visibilité était améliorée grâce à un pare-brise bombé d’une seule pièce. Ce coupé XK 150 S 3, 4 litres du 1er janvier 1961 affiche 15 647 miles (25 182 km) au compteur. La voiture a été l’objet d’une restauration soignée en 1993 et conserve une belle apparence, la peinture présentant un brillant uniforme, joints et chromes sont en bon état, on ne détecte pas de corrosion apparente et le châssis est traité anti-gravillons. La sellerie a été restaurée. Le tableau de bord en loupe de noyer n’est pas d’origine, les panneaux de portes et le ciel de toit sont en très bon état. La mécanique est propre avec une culasse non d’origine et offre des montées en régime sans à coup avec un ralenti stable. Pas de fumée anormale au démarrage ou à l’accélération. La voiture est dotée d’une ventilation électrique. 90 000 – 120 000
Jaguar XK 150 S coupé 1961 La dernière version de la lignée des Jaguar XK fut dévoilée au printemps 1957. La XK 150 succédait aux XK 120 et XK 140 et tentait de faire oublier l’âge du concept dont l’origine remontait à l’immédiat après-guerre. Mécaniquement, la XK 150 conservait le même châssis avec le moteur 3,4 litres et la transmission Moss à quatre rapports que ses devancières 120 et 140. Avec 210 ch, la puissance du 6 cylindres 3, 4 litres en ligne était identique à celle de la XK 140 et les performances étaient sensiblement similaires. Mais à partir de 1958, la version S du 3, 4 litres à culasse straightport offrait, elle, 250 ch ! L’une des évolutions mécaniques les plus intéressantes du nouveau modèle résidait dans ses freins à disque Dunlop, hérités des Type C du Mans. Le fading, problème récurrent sur les modèles à freins à tambour, n’était plus qu’un souvenir et la XK 150 avait désormais un freinage à la hauteur de sa vitesse de pointe de 190 km/h. La XK 150 fut construite à près de 10 000 unités jusqu’en 1961. Extérieurement, une ligne d’aile plus haute et une calandre plus large la distinguaient immédiatement des XK 120/140, mais la différence la plus importante résidait dans sa carrosserie nettement plus large qui avait permis d’augmenter l’habitabilité. Jaguar avait réussi ce tour de force en ajoutant une bande de tôle de 10 cm au centre de la carrosserie, de chaque côté de laquelle on soudait les éléments latéraux emboutis, ce qui avait permis de limiter les coûts de modernisation. La visibilité était améliorée grâce à un pare-brise bombé d’une seule pièce. Ce coupé XK 150 S 3, 4 litres du 1er janvier 1961 affiche 15 647 miles (25 182 km) au compteur. La voiture a été l’objet d’une restauration soignée en 1993 et conserve une belle apparence, la peinture présentant un brillant uniforme, joints et chromes sont en bon état, on ne détecte pas de corrosion apparente et le châssis est traité anti-gravillons. La sellerie a été restaurée. Le tableau de bord en loupe de noyer n’est pas d’origine, les panneaux de portes et le ciel de toit sont en très bon état. La mécanique est propre avec une culasse non d’origine et offre des montées en régime sans à coup avec un ralenti stable. Pas de fumée anormale au démarrage ou à l’accélération. La voiture est dotée d’une ventilation électrique. 90 000 – 120 000
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