INDY, Vincent d' (1851-1931). Correspondance inédite, datée et signée, de 17 lettres adressées à Marie-Joséphine de Monteynard (1844-1921), du 27 aout 1890 au 25 octobre 1915. Encre noire sur double-feuillet in-8 (14 de vergé blanc crème, 3 sur papier de deuil) et un menu sur papier épais. Cinq lettres et le menu avec des portées de musique. Une lettre réparée au ruban adhésif sur la pliure.
INDY, Vincent d' (1851-1931). Correspondance inédite, datée et signée, de 17 lettres adressées à Marie-Joséphine de Monteynard (1844-1921), du 27 aout 1890 au 25 octobre 1915. Encre noire sur double-feuillet in-8 (14 de vergé blanc crème, 3 sur papier de deuil) et un menu sur papier épais. Cinq lettres et le menu avec des portées de musique. Une lettre réparée au ruban adhésif sur la pliure. "OUI, CERTAINEMENT, BEETHOVEN EST PLUS GRAND, PLUS HAUT, PLUS ÉTERNEL QUE SCHUMANN, QUI [...] EST DOUÉ D'UN CHARME TOUT INTIME ET SOUVENT BIEN ATTIRANT". Vincent d'Indy a souvent séjourné chez la marquise de Monteynard, au château de Tencin, près de Grenoble, où ils semblaient très complices. Le musicien évoque dans les lettres : "les Arlésiennes à 4 mains", "nous musiquerons à 2 pianos, à 9 pianos, à 4 mains, à 6 mains, à 8 mains s'il le faut, et ce sera très amusant. Et nous rejouerons une symphonie en parlant de Cappucino". L'ironie d'Indy perce dans toutes ses lettres ("[...] mais il fallait absolument que je vous écrivisse; ne pas lire: écrevisse, oh! cette langue académique!)", mêlant tour à tour discussion sur l'art (lettre du 4 mars 1892: "Des nouvelles artistiques: o - toujours des concerts et des expositions, des expositions et des concerts, peu d'oeuvres de génie dans le tas, seulement d'admirables arbres de Claude Monet chez Durand Ruel et la symphonie avec choeurs de Beethoven [...]"), déploration sur la décadence de la musique moderne, descriptions oniriques, portées et ses découvertes et références musicales: --6 octobre 1901: D'Indy introduit une jeune fille qui s'avère être " la petite (grosse) [Blanche] Selva ", concertiste admirée pour la puissance de son jeu, spécialiste de Bach et que d'Indy nomma, lorsqu'elle eut 18 ans, professeur de piano à la Schola Cantorum, école qu'il fonda. --8 janvier 1906, Lunéville: Lettre évoquant la mort de son épouse Isabelle de Pampelonne en 1905. Ce décès lui inspira le poème Souvenirs , qui contribua grandement à sa renommée. --" Menu " au nom de la marquise de Monteynard, composé de métaphores musicales : " Filet de boeuf aux sourdines farcies. Poularde rôtie à la colophane. [...] Salade de critiques influents. Petits pois, sauce Crickboom ". (17)
INDY, Vincent d' (1851-1931). Correspondance inédite, datée et signée, de 17 lettres adressées à Marie-Joséphine de Monteynard (1844-1921), du 27 aout 1890 au 25 octobre 1915. Encre noire sur double-feuillet in-8 (14 de vergé blanc crème, 3 sur papier de deuil) et un menu sur papier épais. Cinq lettres et le menu avec des portées de musique. Une lettre réparée au ruban adhésif sur la pliure.
INDY, Vincent d' (1851-1931). Correspondance inédite, datée et signée, de 17 lettres adressées à Marie-Joséphine de Monteynard (1844-1921), du 27 aout 1890 au 25 octobre 1915. Encre noire sur double-feuillet in-8 (14 de vergé blanc crème, 3 sur papier de deuil) et un menu sur papier épais. Cinq lettres et le menu avec des portées de musique. Une lettre réparée au ruban adhésif sur la pliure. "OUI, CERTAINEMENT, BEETHOVEN EST PLUS GRAND, PLUS HAUT, PLUS ÉTERNEL QUE SCHUMANN, QUI [...] EST DOUÉ D'UN CHARME TOUT INTIME ET SOUVENT BIEN ATTIRANT". Vincent d'Indy a souvent séjourné chez la marquise de Monteynard, au château de Tencin, près de Grenoble, où ils semblaient très complices. Le musicien évoque dans les lettres : "les Arlésiennes à 4 mains", "nous musiquerons à 2 pianos, à 9 pianos, à 4 mains, à 6 mains, à 8 mains s'il le faut, et ce sera très amusant. Et nous rejouerons une symphonie en parlant de Cappucino". L'ironie d'Indy perce dans toutes ses lettres ("[...] mais il fallait absolument que je vous écrivisse; ne pas lire: écrevisse, oh! cette langue académique!)", mêlant tour à tour discussion sur l'art (lettre du 4 mars 1892: "Des nouvelles artistiques: o - toujours des concerts et des expositions, des expositions et des concerts, peu d'oeuvres de génie dans le tas, seulement d'admirables arbres de Claude Monet chez Durand Ruel et la symphonie avec choeurs de Beethoven [...]"), déploration sur la décadence de la musique moderne, descriptions oniriques, portées et ses découvertes et références musicales: --6 octobre 1901: D'Indy introduit une jeune fille qui s'avère être " la petite (grosse) [Blanche] Selva ", concertiste admirée pour la puissance de son jeu, spécialiste de Bach et que d'Indy nomma, lorsqu'elle eut 18 ans, professeur de piano à la Schola Cantorum, école qu'il fonda. --8 janvier 1906, Lunéville: Lettre évoquant la mort de son épouse Isabelle de Pampelonne en 1905. Ce décès lui inspira le poème Souvenirs , qui contribua grandement à sa renommée. --" Menu " au nom de la marquise de Monteynard, composé de métaphores musicales : " Filet de boeuf aux sourdines farcies. Poularde rôtie à la colophane. [...] Salade de critiques influents. Petits pois, sauce Crickboom ". (17)
Try LotSearch and its premium features for 7 days - without any costs!
Be notified automatically about new items in upcoming auctions.
Create an alert