Gerald Hugh BERNERS (1883-1950) "Olympie Grèce",huile sur bois,sbg et daté 1922. 36x43 cm Notes Gerald Hugh BERNERS (1883-1950) est le 14ème Baron Berners, également connu comme Gerald Tyrwhitt ou Lord Berners. Il était compositeur, écrivain, peintre et esthète. Il fait partie de cette génération d'exentriques historiques de Grande Bretagne qui combinait ses bizzareries colorées avec un talent créatif bien réel: il a teint ses colombes de plusieurs couleurs et a gardé une girafe de compagnie et composait de la musique qui lui valut un titre posthume de BBC Radio 3 Composer of the week en 2014. En plus de compositions pour piano, il a composé de la musique pour des ballets impliquant une foule de grands noms - Le Triomphe de Neptune (1926), par exemple, a été produit par Diaghilev et chorégraphié par Balanchine. Berners a également écrit des chansons et des musiques de films, notamment pour le film de 1947 de Nicholas Nickleby. Il avait installé un clavicorde dans sa Rolls-Royce - la même Rolls-Royce, en fait, que Berners aimait conduire en portant un masque en tête de cochon pour effrayer les habitants. Salvador Dali était l’un des nombreux visiteurs illustres de Faringdon House, bien que l’histoire ne sache malheureusement pas lequel des deux hommes était le plus bizarre. Mais Berners a peut-être poussé Dali au poste. Il a une fois invité Penelope Betjeman et son étalon arabe à rejoindre les humains dans le salon pour le thé de l'après-midi et à se faire peindre. "En plus des œuvres pour piano, il a composé de la musique pour des ballets impliquant une foule de grands noms" Un séjour à Faringdon House a offert de nombreuses touches originales. Des avis étranges dans la maison - y compris à l'intérieur des armoires - faisaient des déclarations telles que «Mangling Done Here», tandis que les chiens de Berners se promenaient avec de faux colliers de perles. Les visiteurs pouvaient également se promener jusqu'à la tour de 140 pieds qu'il avait construite dans le parc, largement reconnue comme la dernière folie érigée sur un domaine anglais. Les Bernois étant des Bernois, son entrée portait un avertissement sévère que «les membres du public qui se suicident depuis cette tour le font à leurs risques et périls».
Gerald Hugh BERNERS (1883-1950) "Olympie Grèce",huile sur bois,sbg et daté 1922. 36x43 cm Notes Gerald Hugh BERNERS (1883-1950) est le 14ème Baron Berners, également connu comme Gerald Tyrwhitt ou Lord Berners. Il était compositeur, écrivain, peintre et esthète. Il fait partie de cette génération d'exentriques historiques de Grande Bretagne qui combinait ses bizzareries colorées avec un talent créatif bien réel: il a teint ses colombes de plusieurs couleurs et a gardé une girafe de compagnie et composait de la musique qui lui valut un titre posthume de BBC Radio 3 Composer of the week en 2014. En plus de compositions pour piano, il a composé de la musique pour des ballets impliquant une foule de grands noms - Le Triomphe de Neptune (1926), par exemple, a été produit par Diaghilev et chorégraphié par Balanchine. Berners a également écrit des chansons et des musiques de films, notamment pour le film de 1947 de Nicholas Nickleby. Il avait installé un clavicorde dans sa Rolls-Royce - la même Rolls-Royce, en fait, que Berners aimait conduire en portant un masque en tête de cochon pour effrayer les habitants. Salvador Dali était l’un des nombreux visiteurs illustres de Faringdon House, bien que l’histoire ne sache malheureusement pas lequel des deux hommes était le plus bizarre. Mais Berners a peut-être poussé Dali au poste. Il a une fois invité Penelope Betjeman et son étalon arabe à rejoindre les humains dans le salon pour le thé de l'après-midi et à se faire peindre. "En plus des œuvres pour piano, il a composé de la musique pour des ballets impliquant une foule de grands noms" Un séjour à Faringdon House a offert de nombreuses touches originales. Des avis étranges dans la maison - y compris à l'intérieur des armoires - faisaient des déclarations telles que «Mangling Done Here», tandis que les chiens de Berners se promenaient avec de faux colliers de perles. Les visiteurs pouvaient également se promener jusqu'à la tour de 140 pieds qu'il avait construite dans le parc, largement reconnue comme la dernière folie érigée sur un domaine anglais. Les Bernois étant des Bernois, son entrée portait un avertissement sévère que «les membres du public qui se suicident depuis cette tour le font à leurs risques et périls».
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