EXCEPTIONNEL ET RARE CABINET EN EBENE FRANCAIS XVIIè Travail Français parisien du XVIIème siècle avec la collaboration d’ébénistes flamands ou allemands pour le travail sur ébène. Il présente en façade deux grands vantaux surmontés d'une frise, sculptés en méplat dans d’épaisses plaques d’ébène. Les sujets non religieux mettent en scène « Le sacrifice d’Iphigénie » et « la reddition de Darius à Alexandre ». La frise ainsi que les angles des vantaux présentent des sirènes, symbole récurant du commerce et de la prospérité dans l’école nordique. Une fois ouverts, ces vantaux découvrent leurs faces intérieures, une série de douze tiroirs et deux petits vantaux centraux. L'ensemble est gravé dans l’épaisseur de plaques moins épaisses, de sujets empruntés à l’iconographie des gravures de l’Ecole Nordiques, mettant en scène des paysages animés bucoliques et autres ornements floraux typiques. Les deux petits vantaux centraux, en s’ouvrant, découvre « le petit théâtre » en marqueterie qui va progressivement remplacer la sculpture dans l’ébénisterie de la seconde moitié du XVIIème siècle. Les bois précieux (acajou, ébène, palissandre…) contrastés alternent géométriquement. Une autre série de dix petits tiroirs entourent une architecture composée de trois miroirs encadrés de moulures guillochées. L'ensemble repose sur un piètement postérieur. Restaurations d'usage et d'entretien. Cabinet H : 94; L : 164; P : 52 cm Avec piètement H : 195; L : 171; P : 56 cm Ce meuble inspiré du « Studiolo », pièce consacrée aux collections dans les palais italiens, est très en vogue toute la première moitié du XVIIème siècle. Modèle à rapprocher du cabinet dit "de l'odyssée" du Château de Fontainebleau.
EXCEPTIONNEL ET RARE CABINET EN EBENE FRANCAIS XVIIè Travail Français parisien du XVIIème siècle avec la collaboration d’ébénistes flamands ou allemands pour le travail sur ébène. Il présente en façade deux grands vantaux surmontés d'une frise, sculptés en méplat dans d’épaisses plaques d’ébène. Les sujets non religieux mettent en scène « Le sacrifice d’Iphigénie » et « la reddition de Darius à Alexandre ». La frise ainsi que les angles des vantaux présentent des sirènes, symbole récurant du commerce et de la prospérité dans l’école nordique. Une fois ouverts, ces vantaux découvrent leurs faces intérieures, une série de douze tiroirs et deux petits vantaux centraux. L'ensemble est gravé dans l’épaisseur de plaques moins épaisses, de sujets empruntés à l’iconographie des gravures de l’Ecole Nordiques, mettant en scène des paysages animés bucoliques et autres ornements floraux typiques. Les deux petits vantaux centraux, en s’ouvrant, découvre « le petit théâtre » en marqueterie qui va progressivement remplacer la sculpture dans l’ébénisterie de la seconde moitié du XVIIème siècle. Les bois précieux (acajou, ébène, palissandre…) contrastés alternent géométriquement. Une autre série de dix petits tiroirs entourent une architecture composée de trois miroirs encadrés de moulures guillochées. L'ensemble repose sur un piètement postérieur. Restaurations d'usage et d'entretien. Cabinet H : 94; L : 164; P : 52 cm Avec piètement H : 195; L : 171; P : 56 cm Ce meuble inspiré du « Studiolo », pièce consacrée aux collections dans les palais italiens, est très en vogue toute la première moitié du XVIIème siècle. Modèle à rapprocher du cabinet dit "de l'odyssée" du Château de Fontainebleau.
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