Exceptionnel cadre de souvenirs et d’ordres de chevalerie de la famille de Canolle, comprenant : Ordre de Saint Louis - Croix de chevalier d’époque Régence. Or et émail (éclats). Ruban. 42 x 38 mm. Ordre de Malte - Croix de chevalier. Or et émail. Couronne articulée. Anneau cannelé. Ruban. 24 x 12 mm. Ordre de la Legion d’honneur - Croix de chevalier en réduction d’époque Restauration. Argent, or et émail. Ruban. 30 x 19 mm. Décoration du lys - Lys sous couronne en argent estampé, perlé. Ruban. 35 x 15 mm. Décoration du brassard de bordeaux - Motif de brassard, en or émaillé (petit éclat) au chiffre du Roi Louis XVIII, sur fond rayonnant en canetille et paillettes d’argent doré. 61 x 94 mm. - Décoration du brassard de Bordeaux En or et émail (petit éclat au revers). Couronne solidaire. Ruban. 33 x 21 mm. - Décoration du brassard de Bordeaux En or et émail (petits éclats). Couronne articulée. Poinçon tête de coq (1809-1819) Ruban. 33 x 21 mm. - Décoration du brassard de Bordeaux, réduite En or et émail (petit éclat au revers). Couronne solidaire. Ruban. 22 x 14 mm. - Barrette en or (poinçon tête de coq) de quatre réductions d’époque Restauration, attribué à François-Henry, chevalier de Canolle : Décoration du brassard de Bordeaux en or et émail, Croix de Malte en or et émail, Légion d’honneur d’époque Restauration en argent et émail, décoration du Lys en argent. (Petits éclats) Rubans aux couleurs des quatre réductions. Souvenirs - Le Roi Louis XVIII en buste. Miniature ronde sous verre, doublé au revers de soie bleu ciel, sous un ruban des volontaires royaux. 23 mm. - Anneau de la Compagnie des «Grenadiers à cheval», attribué François-Henry, chevalier de Canolle. En cuivre doré, orné de feuillages et d’écus. Chaton à la grenade éclatante avec devise «Undique temor», «Undique lethum» et «Honneur et Fidélité» dans des écus. A l’intérieur, deux mains croisées en relief. -Anneau de fidélité dit de « Gand », attribué François-Henry, chevalier de Canolle. En or. Chaton orné d’une miniature du Roi Louis XVIII et gravé sur les côtés « gand – mars 1815 ». Anneau gravé « ma vie au roi – l’honneur a moi – adieu mon ame – mon coeur aux dames » et à l’intérieur d’un coeur monogrammé des initiales des membres de la famille royale et le nom de propriétaire le chevalier de Canolle. Ces anneaux ont été donnés aux membres de la Maison du Roi partis en exil avec le Roi à Gand (1815). Si l’anneau reste similaire, les chatons varient souvent. Présentés sur fond de velours noir, sous verre, dans un cadre doré surmonté d’une couronne de marquis 46 x 35 cm. B.E. Bibliographie : Maximin DELOCHE, « La bague en France à travers l’Histoire », Firmin Didot Henri Gabriel O’GILVY, « Nobiliaire de Guienne et de Gascogne », Dumoulin, Paris, 1858. Biographies : Ces décorations ont appartenus à quatre frères : -Marie-Jean-François-Victor, marquis de Canolle (1778-1822) décoré de l’Ordre royal de la Légion-d’Honneur et du Brassard-Bordelais, émigra en 1797, entra garde noble à cheval le 7 octobre 1799, et fit les campagnes de 1799 et de 1800 à l’armée de Condé, dans le régiment noble à cheval commandé par Monseigneur le duc d’Angoulême. Rentré en France après le licenciement de l’armée, effectué en 1801, il fut député par le comité royaliste de la ville de Bordeaux vers Monseigneur le duc d’Angoulême, au mois de mars 1814, pour informer ce prince des dispositions prises dans le but de la réception de Son Altesse Royale en cette ville. Le marquis de Canolle fut du nombre de ceux qui accompagnèrent le prince lors de son entrée à Bordeaux, le 12 mars 1814. Il fut nommé sous-lieutenant dans la compagnie des volontaires royaux, commandés par le marquis de La Rochejacquelein, son parent, puis maréchal des logis chef dans la compagnie des gendarmes de la maison du Roi, avec rang de chef d’escadron, au mois de juillet 1814. Pendant les Cent-Jours, le marquis de Canolle fut chargé de diverses missions par Leurs Altesses Royales Madame et Monseigneur le duc d’Angoulême. C
Exceptionnel cadre de souvenirs et d’ordres de chevalerie de la famille de Canolle, comprenant : Ordre de Saint Louis - Croix de chevalier d’époque Régence. Or et émail (éclats). Ruban. 42 x 38 mm. Ordre de Malte - Croix de chevalier. Or et émail. Couronne articulée. Anneau cannelé. Ruban. 24 x 12 mm. Ordre de la Legion d’honneur - Croix de chevalier en réduction d’époque Restauration. Argent, or et émail. Ruban. 30 x 19 mm. Décoration du lys - Lys sous couronne en argent estampé, perlé. Ruban. 35 x 15 mm. Décoration du brassard de bordeaux - Motif de brassard, en or émaillé (petit éclat) au chiffre du Roi Louis XVIII, sur fond rayonnant en canetille et paillettes d’argent doré. 61 x 94 mm. - Décoration du brassard de Bordeaux En or et émail (petit éclat au revers). Couronne solidaire. Ruban. 33 x 21 mm. - Décoration du brassard de Bordeaux En or et émail (petits éclats). Couronne articulée. Poinçon tête de coq (1809-1819) Ruban. 33 x 21 mm. - Décoration du brassard de Bordeaux, réduite En or et émail (petit éclat au revers). Couronne solidaire. Ruban. 22 x 14 mm. - Barrette en or (poinçon tête de coq) de quatre réductions d’époque Restauration, attribué à François-Henry, chevalier de Canolle : Décoration du brassard de Bordeaux en or et émail, Croix de Malte en or et émail, Légion d’honneur d’époque Restauration en argent et émail, décoration du Lys en argent. (Petits éclats) Rubans aux couleurs des quatre réductions. Souvenirs - Le Roi Louis XVIII en buste. Miniature ronde sous verre, doublé au revers de soie bleu ciel, sous un ruban des volontaires royaux. 23 mm. - Anneau de la Compagnie des «Grenadiers à cheval», attribué François-Henry, chevalier de Canolle. En cuivre doré, orné de feuillages et d’écus. Chaton à la grenade éclatante avec devise «Undique temor», «Undique lethum» et «Honneur et Fidélité» dans des écus. A l’intérieur, deux mains croisées en relief. -Anneau de fidélité dit de « Gand », attribué François-Henry, chevalier de Canolle. En or. Chaton orné d’une miniature du Roi Louis XVIII et gravé sur les côtés « gand – mars 1815 ». Anneau gravé « ma vie au roi – l’honneur a moi – adieu mon ame – mon coeur aux dames » et à l’intérieur d’un coeur monogrammé des initiales des membres de la famille royale et le nom de propriétaire le chevalier de Canolle. Ces anneaux ont été donnés aux membres de la Maison du Roi partis en exil avec le Roi à Gand (1815). Si l’anneau reste similaire, les chatons varient souvent. Présentés sur fond de velours noir, sous verre, dans un cadre doré surmonté d’une couronne de marquis 46 x 35 cm. B.E. Bibliographie : Maximin DELOCHE, « La bague en France à travers l’Histoire », Firmin Didot Henri Gabriel O’GILVY, « Nobiliaire de Guienne et de Gascogne », Dumoulin, Paris, 1858. Biographies : Ces décorations ont appartenus à quatre frères : -Marie-Jean-François-Victor, marquis de Canolle (1778-1822) décoré de l’Ordre royal de la Légion-d’Honneur et du Brassard-Bordelais, émigra en 1797, entra garde noble à cheval le 7 octobre 1799, et fit les campagnes de 1799 et de 1800 à l’armée de Condé, dans le régiment noble à cheval commandé par Monseigneur le duc d’Angoulême. Rentré en France après le licenciement de l’armée, effectué en 1801, il fut député par le comité royaliste de la ville de Bordeaux vers Monseigneur le duc d’Angoulême, au mois de mars 1814, pour informer ce prince des dispositions prises dans le but de la réception de Son Altesse Royale en cette ville. Le marquis de Canolle fut du nombre de ceux qui accompagnèrent le prince lors de son entrée à Bordeaux, le 12 mars 1814. Il fut nommé sous-lieutenant dans la compagnie des volontaires royaux, commandés par le marquis de La Rochejacquelein, son parent, puis maréchal des logis chef dans la compagnie des gendarmes de la maison du Roi, avec rang de chef d’escadron, au mois de juillet 1814. Pendant les Cent-Jours, le marquis de Canolle fut chargé de diverses missions par Leurs Altesses Royales Madame et Monseigneur le duc d’Angoulême. C
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