BOURGOGNE] - VARENNE DE BÉOST, Jacques - Mémoire pour les élus-généraux des états du duché de Bourgogne, contre le parlement-cour des aydes de Dijon (...) par V*. S.E.C.D.E.D.B. Seconde édition, augm. de quantité de pièces intéressantes. Paris, 1762. In-8, XXXII, 464 pp., veau fauve marbré de l'ép., dos à nerfs orné, p. de t. de mar. rouge, un coin émoussé. (Rel. à la suite deux textes manuscrits:) Extrait des Registres de la Cour des aydes du 5 may 1762. (9) ff. Arrêt de condamnation. - Arrêt de la Cour du Parlement du 7 juin 1792. (3) ff. Jacques Varenne, seigneur de Béost, avocat français, né à Dijon vers 1710, mort à Paris vers 1780. Avocat au parlement de sa ville natale, puis secrétaire en chef des états de Bourgogne, il engagea contre le parlement de Dijon, au sujet des élus des états généraux de Bourgogne, une lutte qui faillit lui devenir fatale. Un Mémoire qu'il publia (Paris, 1758), et dans lequel il soutenait l'administration, fut en vertu d'une décision de la cour des aides de Paris, brûlé par la main du bourreau. Le parlement de Dijon renchérit sur cette condamnation et fit publier une défense ''d'entretenir, sous les peines les peines les plus sévères, aucune liaison avec un de ceux qui portaient son nom.''
BOURGOGNE] - VARENNE DE BÉOST, Jacques - Mémoire pour les élus-généraux des états du duché de Bourgogne, contre le parlement-cour des aydes de Dijon (...) par V*. S.E.C.D.E.D.B. Seconde édition, augm. de quantité de pièces intéressantes. Paris, 1762. In-8, XXXII, 464 pp., veau fauve marbré de l'ép., dos à nerfs orné, p. de t. de mar. rouge, un coin émoussé. (Rel. à la suite deux textes manuscrits:) Extrait des Registres de la Cour des aydes du 5 may 1762. (9) ff. Arrêt de condamnation. - Arrêt de la Cour du Parlement du 7 juin 1792. (3) ff. Jacques Varenne, seigneur de Béost, avocat français, né à Dijon vers 1710, mort à Paris vers 1780. Avocat au parlement de sa ville natale, puis secrétaire en chef des états de Bourgogne, il engagea contre le parlement de Dijon, au sujet des élus des états généraux de Bourgogne, une lutte qui faillit lui devenir fatale. Un Mémoire qu'il publia (Paris, 1758), et dans lequel il soutenait l'administration, fut en vertu d'une décision de la cour des aides de Paris, brûlé par la main du bourreau. Le parlement de Dijon renchérit sur cette condamnation et fit publier une défense ''d'entretenir, sous les peines les peines les plus sévères, aucune liaison avec un de ceux qui portaient son nom.''
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