BERGERE D'EPOQUE LOUIS XV ESTAMPILLE DE JEAN-BAPTISTE TILLIARD A dossier mouvementé en bois redoré, mouluré et sculpté de fleurettes, feuilles d'acanthe, et cartouches, les accoudoirs galbés, la ceinture sinueuse, reposant sur des pieds cambrés, estampillée Tilliard ; redoré, éclats, restaurations On y joint une bergère de modèle identique de style Louis XV, garnie en tapisserie au point à fond crème et décor polychrome de fleurs, pavots, feuillages, du XVIIIème siècle Hauteur: 99 cm (39 in.), Largeur: 78 cm (30 2/3 in.), Profondeur: 58,5 cm (23 in.) Jean-Baptiste Tilliard reçu maître en 1752 A LOUIS XV GILTWOOD BERGERE STAMPED BY JEAN-BAPTISTE TILLIARD AND A LATER ONE Cette bergère est à rapprocher, d'une paire de modèle identique, elle aussi estampillée du même menuisier, conservée autrefois dans la collection Leouzon et vendue à Paris le 7 juin 1990 sous le n°94. Il s'agit vraisemblablement de Jacques Jean-Baptiste Tilliard menuisier reçu maître en 1752 Fils du menuisier Jean-Baptiste Tilliard (1686-1766), Jacques-Jean-Baptiste Tilliard est né en 1723. Débutant dans l'atelier de son père, il est reçu maître menuisier le 26 juillet 1752 et fait enregistrer sa maîtrise en 1764. A partir de 1766, il dirige seul l'atelier rue Cléry où il exerce jusqu'à la Révolution. Il travaille notamment avec les sculpteurs François-Marie Chaillou, Nicolas-François Valois et Toussaint Foliot Le marchand-mercier François-Charles-Darnault lui commande vers 1777 un ensemble de sièges destinés au château de Versailles. A la mort de son père, Jacques-Jean-Baptiste Tilliard acquiert le titre de " menuisier du Garde-Meuble du Roi " mais livre par la suite moins de meubles à la couronne que son père. Il reçoit cependant en 1777 une grande commande pour le Garde Meuble privé de Mesdames Victoire et Elisabeth à Versailles. Sa production se caractérise par l'association de motifs classiques et naturels. Son attention se porte plus particulièrement sur la finesse de ses ornements. Bibliographie : " L'art du siège au XVIIIème siècle en France " par Bill G.B Pallot, Paris, 1987, ACR-Gismondi Ed. p. 318.
BERGERE D'EPOQUE LOUIS XV ESTAMPILLE DE JEAN-BAPTISTE TILLIARD A dossier mouvementé en bois redoré, mouluré et sculpté de fleurettes, feuilles d'acanthe, et cartouches, les accoudoirs galbés, la ceinture sinueuse, reposant sur des pieds cambrés, estampillée Tilliard ; redoré, éclats, restaurations On y joint une bergère de modèle identique de style Louis XV, garnie en tapisserie au point à fond crème et décor polychrome de fleurs, pavots, feuillages, du XVIIIème siècle Hauteur: 99 cm (39 in.), Largeur: 78 cm (30 2/3 in.), Profondeur: 58,5 cm (23 in.) Jean-Baptiste Tilliard reçu maître en 1752 A LOUIS XV GILTWOOD BERGERE STAMPED BY JEAN-BAPTISTE TILLIARD AND A LATER ONE Cette bergère est à rapprocher, d'une paire de modèle identique, elle aussi estampillée du même menuisier, conservée autrefois dans la collection Leouzon et vendue à Paris le 7 juin 1990 sous le n°94. Il s'agit vraisemblablement de Jacques Jean-Baptiste Tilliard menuisier reçu maître en 1752 Fils du menuisier Jean-Baptiste Tilliard (1686-1766), Jacques-Jean-Baptiste Tilliard est né en 1723. Débutant dans l'atelier de son père, il est reçu maître menuisier le 26 juillet 1752 et fait enregistrer sa maîtrise en 1764. A partir de 1766, il dirige seul l'atelier rue Cléry où il exerce jusqu'à la Révolution. Il travaille notamment avec les sculpteurs François-Marie Chaillou, Nicolas-François Valois et Toussaint Foliot Le marchand-mercier François-Charles-Darnault lui commande vers 1777 un ensemble de sièges destinés au château de Versailles. A la mort de son père, Jacques-Jean-Baptiste Tilliard acquiert le titre de " menuisier du Garde-Meuble du Roi " mais livre par la suite moins de meubles à la couronne que son père. Il reçoit cependant en 1777 une grande commande pour le Garde Meuble privé de Mesdames Victoire et Elisabeth à Versailles. Sa production se caractérise par l'association de motifs classiques et naturels. Son attention se porte plus particulièrement sur la finesse de ses ornements. Bibliographie : " L'art du siège au XVIIIème siècle en France " par Bill G.B Pallot, Paris, 1987, ACR-Gismondi Ed. p. 318.
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