2 fines AQUARELLES et encre de Chine, 42/45 x 47/50 cm, sur papier brun clair, signées et datées en bas à g. (déchirures restaurées en haut du 1er projet, pet. déchirures ou pet. manques aux bords). En 1886, l'architecte de la ville Victor Jamaer proposa une restauration générale du bâtiment, incluant le remplacement du décor de la coupole de la grande salle, oeuvre de François-Joseph-Nolau et Auguste-Alfred Rubé. Chaperon participa a ces travaux exécutés en 1887 et peignit la nouvelle coupole en collaboration avec Rubé. Cette restauration se situe "dans la vague d'innovation qui sévit dans les théâtres bruxellois de l'époque : le théâtre de la Bourse, l'Alhambra, le théâtre des Galeries, le théâtre de la Monnaie, furent tous restaurés dans la même année" (p. 130). Il était question, au départ, de simplement rénover le plafond, mais finalement le collège des échevins décida de le remettre à neuf. La moitié du budget, considérable, de plus de 30.000 francs, fut consacrée au plafond seul. Aucun projet de salle de bal n'est mentionné dans l'ouvrage pourtant très complet de Cabris. Il s'agit probablement de la salle du grand foyer, conçue par Poelaert en 1855 et décorée de peintures sur toiles par Nolau et Rubé. La peinture de la coupole en forme d'ellipse est l'oeuvre de Henri Hendrickx. Cabris ne mentionne pas l'intervention de Chaperon dans la rénovation du grand foyer. Le projet semble pourtant bien correspondre a cette salle de forme rectangulaire. # Cabris, Éric.- La Monnaie. Chronique architecturale de 1696 à nos jours. Brux., Racine, 1996, pp. 128-132.
2 fines AQUARELLES et encre de Chine, 42/45 x 47/50 cm, sur papier brun clair, signées et datées en bas à g. (déchirures restaurées en haut du 1er projet, pet. déchirures ou pet. manques aux bords). En 1886, l'architecte de la ville Victor Jamaer proposa une restauration générale du bâtiment, incluant le remplacement du décor de la coupole de la grande salle, oeuvre de François-Joseph-Nolau et Auguste-Alfred Rubé. Chaperon participa a ces travaux exécutés en 1887 et peignit la nouvelle coupole en collaboration avec Rubé. Cette restauration se situe "dans la vague d'innovation qui sévit dans les théâtres bruxellois de l'époque : le théâtre de la Bourse, l'Alhambra, le théâtre des Galeries, le théâtre de la Monnaie, furent tous restaurés dans la même année" (p. 130). Il était question, au départ, de simplement rénover le plafond, mais finalement le collège des échevins décida de le remettre à neuf. La moitié du budget, considérable, de plus de 30.000 francs, fut consacrée au plafond seul. Aucun projet de salle de bal n'est mentionné dans l'ouvrage pourtant très complet de Cabris. Il s'agit probablement de la salle du grand foyer, conçue par Poelaert en 1855 et décorée de peintures sur toiles par Nolau et Rubé. La peinture de la coupole en forme d'ellipse est l'oeuvre de Henri Hendrickx. Cabris ne mentionne pas l'intervention de Chaperon dans la rénovation du grand foyer. Le projet semble pourtant bien correspondre a cette salle de forme rectangulaire. # Cabris, Éric.- La Monnaie. Chronique architecturale de 1696 à nos jours. Brux., Racine, 1996, pp. 128-132.
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