Auguste RODIN (1840-1917). Réunion de deux lettres autographes signées adressées à Mme Pauilhac datées respectivement des 17 et 25 octobre 1897. 2 pages in-12 chacune sur un feuillet replié (130 x 102 mm). Encre brune sur papier vergé. Avec une enveloppe portant la suscription "madame Pauilhac / 74 bould de Strasbourg / Toulouse".
Auguste RODIN (1840-1917). Réunion de deux lettres autographes signées adressées à Mme Pauilhac datées respectivement des 17 et 25 octobre 1897. 2 pages in-12 chacune sur un feuillet replié (130 x 102 mm). Encre brune sur papier vergé. Avec une enveloppe portant la suscription "madame Pauilhac / 74 bould de Strasbourg / Toulouse". AU SUJET DU MARBRE DU BAISER DU FANTÔME À LA JEUNE FILLE ACQUIS PAR MADAME PAUILHAC ET À LAQUELLE RODIN A D'ABORD ENVOYÉ UN PLÂTRE. Madame Pauilhac, qui offrira la sculpture à sa fille Mme Marsan, avait été introduite auprès de Rodin par Judith Cladel, amie et secrétaire du sculpteur. "Mademoiselle Cladel vient de m'avertir de vous envoyer la note du marbre. Le prix convenu [...] a été de trois mille cinq cent francs. Je suis heureux de vous dire que l'exécution est merveilleusement faite. Je vous demanderai aussi de bien vouloir me retourner le modèle en plâtre qui vous a été envoyé pour vous donner l'idée de la composition [...] (17 octobre 1897). Quelques jours plus tard, Rodin la remercie des fleurs qu'il a reçues et se félicite que le marbre, "emblème bien lointain du délicieux amour", soit si bien exposé chez M. et Mme Marsan.
Auguste RODIN (1840-1917). Réunion de deux lettres autographes signées adressées à Mme Pauilhac datées respectivement des 17 et 25 octobre 1897. 2 pages in-12 chacune sur un feuillet replié (130 x 102 mm). Encre brune sur papier vergé. Avec une enveloppe portant la suscription "madame Pauilhac / 74 bould de Strasbourg / Toulouse".
Auguste RODIN (1840-1917). Réunion de deux lettres autographes signées adressées à Mme Pauilhac datées respectivement des 17 et 25 octobre 1897. 2 pages in-12 chacune sur un feuillet replié (130 x 102 mm). Encre brune sur papier vergé. Avec une enveloppe portant la suscription "madame Pauilhac / 74 bould de Strasbourg / Toulouse". AU SUJET DU MARBRE DU BAISER DU FANTÔME À LA JEUNE FILLE ACQUIS PAR MADAME PAUILHAC ET À LAQUELLE RODIN A D'ABORD ENVOYÉ UN PLÂTRE. Madame Pauilhac, qui offrira la sculpture à sa fille Mme Marsan, avait été introduite auprès de Rodin par Judith Cladel, amie et secrétaire du sculpteur. "Mademoiselle Cladel vient de m'avertir de vous envoyer la note du marbre. Le prix convenu [...] a été de trois mille cinq cent francs. Je suis heureux de vous dire que l'exécution est merveilleusement faite. Je vous demanderai aussi de bien vouloir me retourner le modèle en plâtre qui vous a été envoyé pour vous donner l'idée de la composition [...] (17 octobre 1897). Quelques jours plus tard, Rodin la remercie des fleurs qu'il a reçues et se félicite que le marbre, "emblème bien lointain du délicieux amour", soit si bien exposé chez M. et Mme Marsan.
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