Auguste RODIN (1840-1917) Femme nue de trois quarts vers la gauche, un bras levé, vers 1900 Graphite, estompe, aquarelle et gouache légère sur papier vélin. Non signé. Inscription au crayon bleu au dos: «263» et deux fois le cachet rouge de la collection André Schoeller. 32x23cm Provenance: Probablement acquis à la vente après décès de la collection André Schoeller, Hôtel Drouot, 14-15-16 mai 1956, salle n°6, n°14 sous le titre Nu debout, fond bleu (non reproduit). Un certificat d’inclusion au Catalogue raisonné des dessins d’Auguste Rodin en préparation par Madame Christina Buley-Uribe, en date du 1er juin, sera remis à l’acquéreur. Le croquis préparatoire du dessin de Femme nue de trois quarts vers la gauche a été identifié au sein des collections du musée Rodin (n° d’inventaire D.540). Ici, Rodin a d’abord voulu rendre son volume, sa densité charnelle au modèle, tout en conservant certains aspects spontanés du croquis, comme le dédoublement des pieds. Ce qui était un croquis sur le vif avec repentirs, s’est transformé en véritable dessin/peinture et l’effet d’ensemble est absolument magistral. La figure a été submergée sous un lavis bleu profond (on retrouve ce même effet dans d’autres dessins conservés au musée Rodin (par exemple le n° d’inventaire D. 4558).
Auguste RODIN (1840-1917) Femme nue de trois quarts vers la gauche, un bras levé, vers 1900 Graphite, estompe, aquarelle et gouache légère sur papier vélin. Non signé. Inscription au crayon bleu au dos: «263» et deux fois le cachet rouge de la collection André Schoeller. 32x23cm Provenance: Probablement acquis à la vente après décès de la collection André Schoeller, Hôtel Drouot, 14-15-16 mai 1956, salle n°6, n°14 sous le titre Nu debout, fond bleu (non reproduit). Un certificat d’inclusion au Catalogue raisonné des dessins d’Auguste Rodin en préparation par Madame Christina Buley-Uribe, en date du 1er juin, sera remis à l’acquéreur. Le croquis préparatoire du dessin de Femme nue de trois quarts vers la gauche a été identifié au sein des collections du musée Rodin (n° d’inventaire D.540). Ici, Rodin a d’abord voulu rendre son volume, sa densité charnelle au modèle, tout en conservant certains aspects spontanés du croquis, comme le dédoublement des pieds. Ce qui était un croquis sur le vif avec repentirs, s’est transformé en véritable dessin/peinture et l’effet d’ensemble est absolument magistral. La figure a été submergée sous un lavis bleu profond (on retrouve ce même effet dans d’autres dessins conservés au musée Rodin (par exemple le n° d’inventaire D. 4558).
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