[Archives Francine-Claire Legrand] YOURCENAR, Marguerite Lettre dactyl. s. Petite Plaisance, Maine, USA, avril 1 p. in-4°, signature au marqueur mauve. C'est lors de l'élaboration du 1er tome de ses mémoires autobiographiques, la trilogie "Le labyrinthe du monde" ("Souvenirs pieux" "Archives du Nord" et "Quoi ? L'éternité" 1988), qu'elle a chargé Legrand de faire des recherches sur la localisation d'un portrait de Louis Troye, son arrière-grand-père. S'ensuivent plusieurs pistes et noms de personnes à contacter (dont la comtesse de Briey). D'autre part, elle la félicite avec enthousiasme pour son "merveilleux" livre ("Au moment où j'écris, il est encore ouvert sur ma table à la reproduction du tableau de Khnopff : La ville abandonnée"). Elle avoue qu'elle connaît mal les peintres du XIXe, "sauf quelque peu Ensor", et admire son texte qui ne tombe jamais "dans la condescendance à l'égard de certaines formes artistiques plus ou moins démodées, ou dans le jargon psychologique pour les expliquer", mettant en valeur le "génie belge" et non flamand ou wallon. Elle-même a mis aussi ce trait en évidence dans son "essai sur Octave Pirmez [son grand-oncle maternel], les prosateurs et les poètes belges du XIXe siècle". Joint : Mallet-Joris, Françoise - Lettre aut. s., s.d. 1 p. in-en-tête "Académie Goncourt" : "Je me réjouis de voir votre livre rendre justice à une période mal connue d'Ensor que, pour ma part, j'apprécie beaucoup". En vue de l'exposition, elle prêtera d'ailleurs volontiers la "Promenade sentimentale" (qui est en sa possession dans sa maison de Bruxelles. (2 pcs)
[Archives Francine-Claire Legrand] YOURCENAR, Marguerite Lettre dactyl. s. Petite Plaisance, Maine, USA, avril 1 p. in-4°, signature au marqueur mauve. C'est lors de l'élaboration du 1er tome de ses mémoires autobiographiques, la trilogie "Le labyrinthe du monde" ("Souvenirs pieux" "Archives du Nord" et "Quoi ? L'éternité" 1988), qu'elle a chargé Legrand de faire des recherches sur la localisation d'un portrait de Louis Troye, son arrière-grand-père. S'ensuivent plusieurs pistes et noms de personnes à contacter (dont la comtesse de Briey). D'autre part, elle la félicite avec enthousiasme pour son "merveilleux" livre ("Au moment où j'écris, il est encore ouvert sur ma table à la reproduction du tableau de Khnopff : La ville abandonnée"). Elle avoue qu'elle connaît mal les peintres du XIXe, "sauf quelque peu Ensor", et admire son texte qui ne tombe jamais "dans la condescendance à l'égard de certaines formes artistiques plus ou moins démodées, ou dans le jargon psychologique pour les expliquer", mettant en valeur le "génie belge" et non flamand ou wallon. Elle-même a mis aussi ce trait en évidence dans son "essai sur Octave Pirmez [son grand-oncle maternel], les prosateurs et les poètes belges du XIXe siècle". Joint : Mallet-Joris, Françoise - Lettre aut. s., s.d. 1 p. in-en-tête "Académie Goncourt" : "Je me réjouis de voir votre livre rendre justice à une période mal connue d'Ensor que, pour ma part, j'apprécie beaucoup". En vue de l'exposition, elle prêtera d'ailleurs volontiers la "Promenade sentimentale" (qui est en sa possession dans sa maison de Bruxelles. (2 pcs)
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