Deux lettre autographes signées à M. Jay. Ce mardi, s.d. 4 pp. sur bi-feuillet in-8, dont adresse au verso. À propos des protections dont il a pu bénéficier pour son expédition en Amérique du sud Il transmet à son correspondant une notice biographique sur le chevalier d’Urquijo, ministre du roi d’Espagne et à propos de M. Asanza, vice roi de la Nouvelle Espagne (Mexique) ; il lui permet d’apporter toutes les corrections nécessaires à cette notice. Dans une autre lettre, il fait l’éloge de M. d’Urquijo avec qui il est lié « non par les sentiments de l’amitié (je ne l’ai vu que très peu de fois), mais par une reconnaissance dont je lui ai donné un témoignage public de mon dernier volume… On ne pourrait faire assez d’éloges de la libéralité de ses sentiments. Il a eu le noble courage de les manifester à une époque où il élevait seul la voix en Espagne. J’ai donné quelques lignes à M. F** pour l’ancien vice-Roi du Mexique… Si le public a quelque intérêt pour mon voyage, il doit en attribuer le succès au ministre par lequel seul j’ai obtenu des permissions si illimitées. Je n’ai eu aucun secours pécuniaire de la Cour d’Espagne pour cette vaste entreprise ; mais j’ai eu du Roi Charles IV qui m’honora de quelque bienveillance personnelle et auquel M. Urquijo m’avait recommandé particulièrement… Cette protection a été continué après la chute de M. Urquijo par M. de Cevallos… »
Deux lettre autographes signées à M. Jay. Ce mardi, s.d. 4 pp. sur bi-feuillet in-8, dont adresse au verso. À propos des protections dont il a pu bénéficier pour son expédition en Amérique du sud Il transmet à son correspondant une notice biographique sur le chevalier d’Urquijo, ministre du roi d’Espagne et à propos de M. Asanza, vice roi de la Nouvelle Espagne (Mexique) ; il lui permet d’apporter toutes les corrections nécessaires à cette notice. Dans une autre lettre, il fait l’éloge de M. d’Urquijo avec qui il est lié « non par les sentiments de l’amitié (je ne l’ai vu que très peu de fois), mais par une reconnaissance dont je lui ai donné un témoignage public de mon dernier volume… On ne pourrait faire assez d’éloges de la libéralité de ses sentiments. Il a eu le noble courage de les manifester à une époque où il élevait seul la voix en Espagne. J’ai donné quelques lignes à M. F** pour l’ancien vice-Roi du Mexique… Si le public a quelque intérêt pour mon voyage, il doit en attribuer le succès au ministre par lequel seul j’ai obtenu des permissions si illimitées. Je n’ai eu aucun secours pécuniaire de la Cour d’Espagne pour cette vaste entreprise ; mais j’ai eu du Roi Charles IV qui m’honora de quelque bienveillance personnelle et auquel M. Urquijo m’avait recommandé particulièrement… Cette protection a été continué après la chute de M. Urquijo par M. de Cevallos… »
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