ALCIAT, André EMBLEMATA D. A. ALCIATI EMBLEMATA D. A. ALCIATI, denuo ab ipso Autore recognita, ac, quae desi // derabantur, imagini // bus locupletata denuo ab ipso Autore recognita, ac, quae desi // derabantur, imagini // bus locupletata. Lyon, apud Mathiam Bonhomme (excudebat Mathias Bonhomme), 1550, in-8° de 230 pages signées A-O8, P4 (dernier bl.), maroquin rouge, triple encadrement de filets dorés autour des plats avec large bande à froid rectangulaire et fer doré aux angles, médaillon central doré, dos à nerfs orné, roulettes et filets dorés intérieurs avec un pointillé, tranches dorées (Lortic). L'une des éditions les plus complètes de ce célèbre livre d'emblèmes, enrichie de 79 nouveaux emblèmes par rapport à l'édition publiée par les mêmes en 1549. Publiée à Lyon au mitan de la Renaissance sous la direction de l'humaniste lyonnais Barthélémy Aneau (ca. 1505-1561), cette édition reprend celle publiée dans la même ville, en 1548, à la faveur du privilège partagé entre Guillaume Rouillé et Macé Bonhomme. Il s'agit, ici, du tirage au seul nom de Macé Bonhomme, daté de 1550, avec la marque typographique sur la page de titre figurant un pélican et sa légende ?? ????? ?? ???S, alors que Henry Green mentionne une marque figurant Persée. 197 emblèmes et 14 arbres gravés sur bois, soit 211 figures à pleine page, chacune dans un encadrement, certains de ceux-ci signés des initiales P.V. Les emblèmes sont presque tous figurés dans des encadrements de style Renaissance dont la gravure est attribuée à Pierre de Vingle ou à Pierre Eskrich dit Pierre Vase (ca. 1520-159 ?). Ambroise Firmin-Didot-les attribue, lui, à Jean Moni. Les petites figures gravées, plus recherchées encore que dans les éditions précédentes, sont dues à Bernard Salomon (1506-1561). Exemplaire de choix à bonnes marges établi par Pierre-Marcelin Lortic (1822-1892), avec son étiquette au recto du premier feuillet de garde. Celui-ci, formé chez Pierre-Paul Gruel, exerça son activité à Paris entre 1844 et 1884. Il fut le grand rival de Georges Trautz. Le feuillet H3 est signé H2 ; et le feuillet I5 est signé I4, comme dans le tirage daté de 1550 au nom de Guillaume Rouillé. Rare dans cette condition. Bibliographie : Duplessis, 52 ; Landwehr, 50 (« It is one of the most complete editions ») ; Green, 45 ; A. Firmin-Didot- Essai typographique, Paris, 1863, p. 231 ; Brigitte Biot, Barthélemy Aneau. Paris, Champion, 1996 ; P. Sharratt, Bernard Salomon : illustrateur lyonnais. Genève, Droz, 2005, p. 67 et suiv. ; Fléty, p. 115
ALCIAT, André EMBLEMATA D. A. ALCIATI EMBLEMATA D. A. ALCIATI, denuo ab ipso Autore recognita, ac, quae desi // derabantur, imagini // bus locupletata denuo ab ipso Autore recognita, ac, quae desi // derabantur, imagini // bus locupletata. Lyon, apud Mathiam Bonhomme (excudebat Mathias Bonhomme), 1550, in-8° de 230 pages signées A-O8, P4 (dernier bl.), maroquin rouge, triple encadrement de filets dorés autour des plats avec large bande à froid rectangulaire et fer doré aux angles, médaillon central doré, dos à nerfs orné, roulettes et filets dorés intérieurs avec un pointillé, tranches dorées (Lortic). L'une des éditions les plus complètes de ce célèbre livre d'emblèmes, enrichie de 79 nouveaux emblèmes par rapport à l'édition publiée par les mêmes en 1549. Publiée à Lyon au mitan de la Renaissance sous la direction de l'humaniste lyonnais Barthélémy Aneau (ca. 1505-1561), cette édition reprend celle publiée dans la même ville, en 1548, à la faveur du privilège partagé entre Guillaume Rouillé et Macé Bonhomme. Il s'agit, ici, du tirage au seul nom de Macé Bonhomme, daté de 1550, avec la marque typographique sur la page de titre figurant un pélican et sa légende ?? ????? ?? ???S, alors que Henry Green mentionne une marque figurant Persée. 197 emblèmes et 14 arbres gravés sur bois, soit 211 figures à pleine page, chacune dans un encadrement, certains de ceux-ci signés des initiales P.V. Les emblèmes sont presque tous figurés dans des encadrements de style Renaissance dont la gravure est attribuée à Pierre de Vingle ou à Pierre Eskrich dit Pierre Vase (ca. 1520-159 ?). Ambroise Firmin-Didot-les attribue, lui, à Jean Moni. Les petites figures gravées, plus recherchées encore que dans les éditions précédentes, sont dues à Bernard Salomon (1506-1561). Exemplaire de choix à bonnes marges établi par Pierre-Marcelin Lortic (1822-1892), avec son étiquette au recto du premier feuillet de garde. Celui-ci, formé chez Pierre-Paul Gruel, exerça son activité à Paris entre 1844 et 1884. Il fut le grand rival de Georges Trautz. Le feuillet H3 est signé H2 ; et le feuillet I5 est signé I4, comme dans le tirage daté de 1550 au nom de Guillaume Rouillé. Rare dans cette condition. Bibliographie : Duplessis, 52 ; Landwehr, 50 (« It is one of the most complete editions ») ; Green, 45 ; A. Firmin-Didot- Essai typographique, Paris, 1863, p. 231 ; Brigitte Biot, Barthélemy Aneau. Paris, Champion, 1996 ; P. Sharratt, Bernard Salomon : illustrateur lyonnais. Genève, Droz, 2005, p. 67 et suiv. ; Fléty, p. 115
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