Porte-drapeau de Ferrari, la « supercar » Testarossa ressuscitait un nom mythique du passé de la firme italienne lorsqu'elle fut présentée en 1984. Nouvelle génération de berlinetta boxer, la Testarossa reprenait le 12 cylindres à plat de 5 litres en position centrale de sa devancière qui affichait désormais une puissance maximale portée à 380 cv à 6300 tr/min, grâce à une culasse à quatre soupapes par cylindre. En dépit de l'augmentation de puissance, la docilité et la facilité de conduite était encore améliorées, la voiture affichant une grande souplesse sur son rapport supérieur associé à une vitesse de pointe de 290 km/h. Rivale de la Lamborghini Countach par son aspect spectaculaire, la Testarossa de Pininfarina remporta un vif succès avec le motif des grilles latérales de radiateurs facilement identifiables et largement copiées. Plus imposante que la 512 BB, la largeur accrue étant nécessaire pour loger les énormes pneumatiques – et ses radiateurs latéraux – la Testarossa réussissait à combiner un excellent appui avec un coefficient de traînée réduit, sa magnifique carrosserie n'étant gâchée par aucun encombrant appendice aérodynamique. Malgré cette de la taille accrue par rapport à la 512 BB, la Testarossa était plus légère que sa devancière, sa carrosserie, à l'exception des portes et du toit, étant, fait exceptionnel pour une Ferrari de série, en aluminium. Des touches de raffinement dans l'habitacle bien équipé incluait l'air conditionné, des sièges réglables électriquement, un volant inclinable et beaucoup de cuir. Contrairement à certaines de ses rivales, la Testarossa était légère et facile à conduire, atout qui, ajouté à ses performances exceptionnelles et son allure spectaculaire en firent un modèle particulièrement convoité. La voiture proposée fut immatriculée en 1988 et achetée par son actuel propriétaire qui l'a conservée depuis, l'année suivante à une vente aux enchères à Monaco. Son kilométrage était alors assez bas et n'a pas beaucoup évolué dans les deux dernières décennies, restant aux alentours de 7000 km depuis l'origine. Elle se présente sous une livrée Rosso Corsa, mais plus inhabituellement avec une sellerie de cuir noir, dont l'état reflète le kilométrage limité. Pour un client britannique, elle présente l'avantage d'être pourvue d'une immatriculation privée CD 1219. Ferrari's flagship model, the Testarossa supercar revived a famous name from the Italian company's past when it arrived in 1984. A 'next generation' Berlinetta Boxer, the Testarossa retained its predecessor's amidships-mounted, 5.0-litre, flat-12 engine, which now boasted a maximum power output raised to 380bhp at 6,300rpm courtesy of four-valve cylinder heads. Despite the power increase, smoothness and driveability were enhanced, the car possessing excellent top gear flexibility allied to a maximum speed of 180mph. Rivalling Lamborghini's Countach for presence, the Pininfarina-designed Testarossa succeeded brilliantly, the gill slats feeding air to its side-mounted radiators being one of the modern era's most instantly recognisable – and copied - styling devices. A larger car than the 512BB - the increase in width being necessary to accommodate wider tyres - the Testarossa managed the trick of combining high downforce with a low coefficient of drag, its graceful body being notable for the absence of extraneous spoilers and other such devices. Despite the increase in size over the 512BB, the Testarossa was lighter than its predecessor, the body - its steel doors and roof excepted - being, somewhat unusually for a production Ferrari, of aluminium. Luxury touches in the well-equipped cabin included air conditioning, electrically adjustable seats, tilting steering wheel and plentiful leather. Unlike some of its rivals, the Testarossa possessed light controls and was relatively easy to drive, factors which, allied to its outstanding performance and stunning looks, contributed to an instant and sustained high level of demand. The car on of
Porte-drapeau de Ferrari, la « supercar » Testarossa ressuscitait un nom mythique du passé de la firme italienne lorsqu'elle fut présentée en 1984. Nouvelle génération de berlinetta boxer, la Testarossa reprenait le 12 cylindres à plat de 5 litres en position centrale de sa devancière qui affichait désormais une puissance maximale portée à 380 cv à 6300 tr/min, grâce à une culasse à quatre soupapes par cylindre. En dépit de l'augmentation de puissance, la docilité et la facilité de conduite était encore améliorées, la voiture affichant une grande souplesse sur son rapport supérieur associé à une vitesse de pointe de 290 km/h. Rivale de la Lamborghini Countach par son aspect spectaculaire, la Testarossa de Pininfarina remporta un vif succès avec le motif des grilles latérales de radiateurs facilement identifiables et largement copiées. Plus imposante que la 512 BB, la largeur accrue étant nécessaire pour loger les énormes pneumatiques – et ses radiateurs latéraux – la Testarossa réussissait à combiner un excellent appui avec un coefficient de traînée réduit, sa magnifique carrosserie n'étant gâchée par aucun encombrant appendice aérodynamique. Malgré cette de la taille accrue par rapport à la 512 BB, la Testarossa était plus légère que sa devancière, sa carrosserie, à l'exception des portes et du toit, étant, fait exceptionnel pour une Ferrari de série, en aluminium. Des touches de raffinement dans l'habitacle bien équipé incluait l'air conditionné, des sièges réglables électriquement, un volant inclinable et beaucoup de cuir. Contrairement à certaines de ses rivales, la Testarossa était légère et facile à conduire, atout qui, ajouté à ses performances exceptionnelles et son allure spectaculaire en firent un modèle particulièrement convoité. La voiture proposée fut immatriculée en 1988 et achetée par son actuel propriétaire qui l'a conservée depuis, l'année suivante à une vente aux enchères à Monaco. Son kilométrage était alors assez bas et n'a pas beaucoup évolué dans les deux dernières décennies, restant aux alentours de 7000 km depuis l'origine. Elle se présente sous une livrée Rosso Corsa, mais plus inhabituellement avec une sellerie de cuir noir, dont l'état reflète le kilométrage limité. Pour un client britannique, elle présente l'avantage d'être pourvue d'une immatriculation privée CD 1219. Ferrari's flagship model, the Testarossa supercar revived a famous name from the Italian company's past when it arrived in 1984. A 'next generation' Berlinetta Boxer, the Testarossa retained its predecessor's amidships-mounted, 5.0-litre, flat-12 engine, which now boasted a maximum power output raised to 380bhp at 6,300rpm courtesy of four-valve cylinder heads. Despite the power increase, smoothness and driveability were enhanced, the car possessing excellent top gear flexibility allied to a maximum speed of 180mph. Rivalling Lamborghini's Countach for presence, the Pininfarina-designed Testarossa succeeded brilliantly, the gill slats feeding air to its side-mounted radiators being one of the modern era's most instantly recognisable – and copied - styling devices. A larger car than the 512BB - the increase in width being necessary to accommodate wider tyres - the Testarossa managed the trick of combining high downforce with a low coefficient of drag, its graceful body being notable for the absence of extraneous spoilers and other such devices. Despite the increase in size over the 512BB, the Testarossa was lighter than its predecessor, the body - its steel doors and roof excepted - being, somewhat unusually for a production Ferrari, of aluminium. Luxury touches in the well-equipped cabin included air conditioning, electrically adjustable seats, tilting steering wheel and plentiful leather. Unlike some of its rivals, the Testarossa possessed light controls and was relatively easy to drive, factors which, allied to its outstanding performance and stunning looks, contributed to an instant and sustained high level of demand. The car on of
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