1970 Ferrari 365 GTB/4 Daytona par Scaglietti Carte grise française Châssis n° 13407 - Ayant appartenu au chanteur Christophe de 1983 à 1993 - Rare première série, vendue neuve en Belgique - Air conditionné et matching numbers - Très belle présentation esthétique comme mécanique Lamborghini avait ouvert la voie d'une nouvelle configuration, pour les voitures de sport ultra-performantes: celle du moteur central, ce qui permet un abaissement du centre de gravité et une meilleure répartition des poids. Pourtant, lorsque l'on compare la stabilité à grande vitesse d'une Lamborghini Miura et d'une Ferrari Daytona, on peut comprendre le choix d'Enzo Ferrari: la Daytona ne dévie pas d'un pouce alors que la Miura a tendance à lever le nez. Les qualités de la Ferrari ont d'ailleurs été confirmées par ses succès en compétition (dont une victoire au Tour Auto en 1972 avec Andruet/Biche), ce qui n'est pas le cas de la Miura. Après avoir fait l'objet à l'époque de sarcasmes injustifiés de la part de spécialistes, la Daytona bénéficie aujourd'hui d'une incontestable aura qui s'appuie sur plusieurs critères: c'est la dernière Ferrari V12 à moteur avant de cette époque; onctueux autant que rageur, il délivre 352 ch à 7 500 tr/mn, ce qui propulse la voiture à 270 km/h; ses qualités routières sont incontestables, notamment dans les grandes courbes prises à pleine vitesse; elle bénéficie d'une ligne impressionnante tracée par Fioravanti, pour Pininfarina. La très belle Daytona que nous présentons est une première série sortie d'usine le 8 mai 1970 pour être acheminée le 28 mai au Garage Francorchamps de Jacques Swaters à Bruxelles. La voiture est vendue à son premier propriétaire, M. Vandevelde, International Polioxal SA à Machelen en Belgique. Elle est ensuite immatriculée dans le nord de la France et en 1974, passe dans le département des Hauts-de-Seine en région parisienne sous le numéro 659 EA 92. Nous avons la copie de la carte grise qui certifie que notre Daytona est immatriculée ensuite en 1983 sous le numéro 84 EHZ 75 au nom de Véronique Bevilacqua, épouse du célèbre chanteur français Christophe qui avait pour habitude de mettre les papiers de ses multiples bolides au nom de sa femme. Christophe conservera l'italienne pendant 10 ans. Pour l'anecdote, il se verra prêter une grosse somme par un de ses amis, en échange de la Daytona. Ne pouvant lui rembourser, son ami la gardera et la fera immatriculer à son nom le 23 avril 1993, sans jamais rouler avec. La voiture est rachetée le 25 juillet 2002 par l'actuel propriétaire, parisien, qui aura été bercé toute sa vie par les superbes automobiles possédées par son père, notamment une Bugatti 57 SC Atalante dans les années 30 ou une Ferrari 250 Coupé PF plus tard. Dès qu'il en fait l'acquisition, il envoie la voiture chez le spécialiste Alain Coquelet pour une restauration complète de la carrosserie et de l'intérieur. Le travail est remarquable, respectant l'origine avec le cuir original des deux sièges conservés. Il s'agit d'une rare Daytona première série, dont le fonctionnement nous a donné toute satisfaction le jour des prises de vue et dont l'histoire est complètement retracée et limpide dont le chanteur des " Mots bleus "…une invitation au voyage. French title Chassis no. 13407 - Owned by the singer Christophe from 1983-1993 - Rare first-series model, delivered new in Belgium - Air-conditioning and matching numbers - Beautiful cosmetic and mechanical condition Lamborghini had opened the way for a new layout for ultra-high-performance sports cars: a mid-mounted engine, which allowed a lower centre of gravity and improved weight distribution. Nonetheless, when you compare the high-speed stability of a Lamborghini Miura and a Ferrari Daytona, Enzo Ferrari's choice can be understood: the Daytona doesn't budge an inch, whereas the Miura tends to lift its nose. The Ferrari's qualities were, moreover, confirmed by its success in competition (including winning the 1972 Tour Auto with Andruet/Biche)
1970 Ferrari 365 GTB/4 Daytona par Scaglietti Carte grise française Châssis n° 13407 - Ayant appartenu au chanteur Christophe de 1983 à 1993 - Rare première série, vendue neuve en Belgique - Air conditionné et matching numbers - Très belle présentation esthétique comme mécanique Lamborghini avait ouvert la voie d'une nouvelle configuration, pour les voitures de sport ultra-performantes: celle du moteur central, ce qui permet un abaissement du centre de gravité et une meilleure répartition des poids. Pourtant, lorsque l'on compare la stabilité à grande vitesse d'une Lamborghini Miura et d'une Ferrari Daytona, on peut comprendre le choix d'Enzo Ferrari: la Daytona ne dévie pas d'un pouce alors que la Miura a tendance à lever le nez. Les qualités de la Ferrari ont d'ailleurs été confirmées par ses succès en compétition (dont une victoire au Tour Auto en 1972 avec Andruet/Biche), ce qui n'est pas le cas de la Miura. Après avoir fait l'objet à l'époque de sarcasmes injustifiés de la part de spécialistes, la Daytona bénéficie aujourd'hui d'une incontestable aura qui s'appuie sur plusieurs critères: c'est la dernière Ferrari V12 à moteur avant de cette époque; onctueux autant que rageur, il délivre 352 ch à 7 500 tr/mn, ce qui propulse la voiture à 270 km/h; ses qualités routières sont incontestables, notamment dans les grandes courbes prises à pleine vitesse; elle bénéficie d'une ligne impressionnante tracée par Fioravanti, pour Pininfarina. La très belle Daytona que nous présentons est une première série sortie d'usine le 8 mai 1970 pour être acheminée le 28 mai au Garage Francorchamps de Jacques Swaters à Bruxelles. La voiture est vendue à son premier propriétaire, M. Vandevelde, International Polioxal SA à Machelen en Belgique. Elle est ensuite immatriculée dans le nord de la France et en 1974, passe dans le département des Hauts-de-Seine en région parisienne sous le numéro 659 EA 92. Nous avons la copie de la carte grise qui certifie que notre Daytona est immatriculée ensuite en 1983 sous le numéro 84 EHZ 75 au nom de Véronique Bevilacqua, épouse du célèbre chanteur français Christophe qui avait pour habitude de mettre les papiers de ses multiples bolides au nom de sa femme. Christophe conservera l'italienne pendant 10 ans. Pour l'anecdote, il se verra prêter une grosse somme par un de ses amis, en échange de la Daytona. Ne pouvant lui rembourser, son ami la gardera et la fera immatriculer à son nom le 23 avril 1993, sans jamais rouler avec. La voiture est rachetée le 25 juillet 2002 par l'actuel propriétaire, parisien, qui aura été bercé toute sa vie par les superbes automobiles possédées par son père, notamment une Bugatti 57 SC Atalante dans les années 30 ou une Ferrari 250 Coupé PF plus tard. Dès qu'il en fait l'acquisition, il envoie la voiture chez le spécialiste Alain Coquelet pour une restauration complète de la carrosserie et de l'intérieur. Le travail est remarquable, respectant l'origine avec le cuir original des deux sièges conservés. Il s'agit d'une rare Daytona première série, dont le fonctionnement nous a donné toute satisfaction le jour des prises de vue et dont l'histoire est complètement retracée et limpide dont le chanteur des " Mots bleus "…une invitation au voyage. French title Chassis no. 13407 - Owned by the singer Christophe from 1983-1993 - Rare first-series model, delivered new in Belgium - Air-conditioning and matching numbers - Beautiful cosmetic and mechanical condition Lamborghini had opened the way for a new layout for ultra-high-performance sports cars: a mid-mounted engine, which allowed a lower centre of gravity and improved weight distribution. Nonetheless, when you compare the high-speed stability of a Lamborghini Miura and a Ferrari Daytona, Enzo Ferrari's choice can be understood: the Daytona doesn't budge an inch, whereas the Miura tends to lift its nose. The Ferrari's qualities were, moreover, confirmed by its success in competition (including winning the 1972 Tour Auto with Andruet/Biche)
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